Site communiste, contre l' Europe des patrons, des banquiers, des multinationales capitalistes; une Europe anti-sociale, otanisée d'agressions impérialistes et de pillage colonialiste, bureaucratique, technocratique, contre les peuples et les travailleurs... Pour recevoir ces articles: roger.romain@skynet.be Indiquer "Europe"
mercredi 30 septembre 2009
ACN Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr
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From: "Agence Cubaine D´Information" <frenchnews@ain.cu>
Sent: Wednesday, September 30, 2009 2:57 AM
To: "Frances List Member" <roger.romain@skynet.be>
Subject: ACN Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr
Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr
(Néstor Núñez)
Si le président russe Dimitri Medvedev qualifie les prochains
plans expansionnistes de l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique
Nord) de dangereux pour son pays, il n'y a là rien d'étonnant. Cela se
doit simplement au fait que cette organisation belliciste, transformée
par l'Occident en un instrument de la guerre froide il y a quelques
dizaines d'années, prétend maintenant incorporer dans ses rangs deux ex-
républiques soviétiques, l'Ukraine et la Géorgie.
La première est grosse productrice de céréales et de nombreux
gazoducs et oléoducs en provenance de Russie traversent son territoire.
La deuxième est en conflit avec Moscou, y compris dans le domaine
militaire, car les autorités géorgiennes ont mis l'œil sur les
territoires autonomes d'Ossétie et d' Abkhazie.
En toute objectivité, Medvedev est obligé de penser à la
possibilité d'une recrudescence des disputes avec ses deux voisins
immédiats une fois qu'ils feront partie de l'OTAN, une organisation qui,
ajoutons-le, n'était pas étrangère à la gestation des infructueuses
aventures bellicistes menées récemment par la Géorgie.
La Russie ne peut pas avoir confiance en une extension de l'OTAN
ni être sûre que cette organisation puisse contrôler correctement une
quantité croissante de membres et des problématiques de plus en plus
complexes.
De son côté, comme s'il offrait un succulent gâteau tout en se
serrant la ceinture, Washington vient d'annoncer qu'il a remis dans ses
cartons le plan de l'écu anti-missiles dont l'installation avait été
annoncée, à l'époque de l'administration de George W. Bush, en Pologne
et dans la République Tchèque.
Il semble que les dépenses qu'aurait entraîné son exécution
représentaient une charge trop difficile à supporter. Le projet, qui
devait être exécuté entre 2007 et 2012, aurait provoqué une augmentation
de 50% du budget militaire nord-américain pour dix ans. D'un autre côté,
la Maison Blanche assure que pour le moment, l'extension du programme
n'est pas vraiment indispensable pour garantir la sécurité nationale.
Cependant, les experts affirment qu'il s'agit de la simple suspension
d'un processus compliqué qui avait été dénoncé par Moscou comme un
risque grave pour sa propre intégrité, raison pour laquelle le Kremlin
avait annoncé qu'il allait installer des missiles atomiques à
Kaliningrad, aux portes de l'Europe.
Même si il s'est montré tout d'abord satisfait de la décision nord-
américaine, il semble bien que Moscou ne confie pas vraiment en des
décisions qui ne sont ni fondamentales, ni définitives.
Título en español
Moscú confía, pero… comprueba
GENEVE: action anti-MCG vendredi matin
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From: "Les communistes" <info@lescommunistes.org>
Sent: Wednesday, September 30, 2009 5:27 PM
To: "médias" <medias@lescommunistes.org>
Cc:
Subject: action anti-MCG vendredi matin
Aux médias du canton,
Communiqué de presse du Parti communiste genevois
Invitation à assister à une action contre le MCG
MCG : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !
Le député sortant et candidat au Grand Conseil sur la liste du MCG, Maurice Clairet, dont le parti n'arrête pas de stigmatiser les frontaliers et de dénoncer le trafic pendulaire dans la campagne genevoise, emploie en tant que patron d'une grande boulangerie à Bernex une écrasante majorité de frontaliers ! Au moment où des centaines d'affiches MCG au ton clairement xénophobe souillent les murs de notre canton, il nous apparaît important d'attirer l'attention des genevois sur les manipulations grossières de ce parti.
Ainsi, pour dénoncer l'hypocrisie et l'ignoble opportunisme de M. Clairet et du MCG, le Parti communiste genevois organisera :
VENDREDI 2 octobre
dès 11.15
un piquet citoyen devant la boulangerie de M. Clairet à Bernex (248 rue de Bernex).
Pour le Parti communiste genevois :
Laurent Tettamanti, coordinateur (022 794 81 56)
Fabrice Chaperon (076 420 30 54)
mardi 29 septembre 2009
solidaritéS: 3 Soirées-Débats à GE • MAR.29 SEPT. • VEN 2 et DIM 4 OCT.
MAR 29 SEPT•20h00: Face à la crise: quel bouclier social?
avec Jocelyne HALLER et plusieurs candidat-e-s de solidaritéS au Grand Conseil
Maison des Associations (15 Savoises)
VEN 2 OCT. • 20h00: Les luttes sociales et le Nouveau Parti Anticapitaliste en France
avec Myriam Martin, membre avec Olivier BESANCENOT de l'exécutif national du NPA
Université Ouvrière (UOG • 3 Pl. des Grottes)
DIM 4 OCT • 19h00: Vivre autrement à Genève: quelles priorités?
avec Jean BATOU (solidaritéS)
Albane SCHLECHTEN (Union des espaces culturels autogérés / UECA)
Café Gavroche (4 bis Bd James-Fazy)
Un nouvel article sur le blog www.jacques-lacaze.com: FASCISATION: IL EST PLUS QUE TEMPS DE REAGIR
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lundi 28 septembre 2009
[romain : paix_socialisme_communisme] Fw: QQ remarques sur la décision de la cour constitutionnelle allemande relative au traité de LisbonneQu'en pensez vous,?
Quelques remarques sur la décision de la Cour constitutionnelle allemande relative au traité de Lisbonne par Yvonne Bollmann, Germaniste, Maître de conférences à l'Université Paris XII
samedi 18 juillet 2009, par Comité Valmy
Notre Non du 29 mai 2005 aura compté pour rien. L'ersatz du traité constitutionnel a été ratifié par la France. Dans son rapport annuel, le Conseil d'Etat vient de révéler que le gouvernement lui a donné 24 heures, en janvier 2008, pour se prononcer sur le projet de loi autorisant la ratification du traité de Lisbonne. Il regrette que ce projet de loi ait dû être examiné « trop rapidement » .
C'est donc finalement la Cour constitutionnelle allemande, par sa décision du 30 juin 2009, qui a fait de l'Allemagne le maître du jeu, et l'a érigée en véritable Souverain, en celui qui fait la loi. Un coup de maître. Il a suffi que la Cour de Karlsruhe « ose dire ce que ni le Parlement français, ni le Conseil constitutionnel français n'ont osé dire » . Cela confère à l'Allemagne un prestige énorme, dont son droit va bénéficier à grande échelle, tant dans le domaine de la philosophie politique que de l'économie. Le droit allemand est d'ores et déjà un article immatériel exporté dans de nombreux pays (dont la Chine), où il crée un terrain propice pour d'autres produits, bien tangibles ceux-là, "made in Germany".
Pendant des années, et surtout après le discours de Joschka Fischer à l'université Humboldt (2000), l'Allemagne a été le principal agent d'une Europe fédérale pourvue d'un traité constitutionnel. Sous l'effet du coup de force d'allure démocratique qu'a été la réunification allemande, ses partenaires l'ont suivie sur ce chemin. Au détriment de leur intérêt national, ils ont investi dans ce projet une part importante de leur activité politique, pendant qu'elle suivait déjà son Sonderweg. Voici que l'Allemagne change de registre, et tout le monde s'apprête une fois encore à lui emboîter le pas.
Entre temps, elle a recueilli les fruits d'une construction européenne qu'elle a menée d'une poigne de fer. Au début de ce processus il y a eu la CECA, dont l'idée fut soufflée à Robert Schumann par Karl Arnold, ministre-président du land de Rhénanie du Nord-Westphalie. En 1953, Jean Monnet l'a salué lors d'une visite comme « le père de la CECA » . Pour Adenauer, la Montanunion était « un moyen de réintroduire son pays, plus ou moins sur une base d'égalité, dans la communauté des peuples », ce qui était conforme à « son souci des intérêts purement allemands » .
Au terme du long parcours qui a suivi, ce sont les pays de la Mitteleuropa qui sont tombés dans l'escarcelle allemande par l'élargissement de l'Union européenne. Après diverses péripéties, l'Allemagne s'est ainsi, en quelque sorte, approprié pacifiquement le delta du Danube , étape vitale sur la route vers l'Orient, un projet qui remontait aux années 1840 (voir l'ouvrage de Klaus Thörner, Der ganze Südosten ist unser Hinterland, Deutsche Südosteuropaplä
Il est imprudent, à ce jour, d'écrire que « la crainte française d'un Hinterland allemand, d'une arrière-cour en Europe de l'Est, s'est révélée infondée », du seul fait que « les pays de l'élargissement [ ] prennent leurs décisions politiques avec les Américains » . On sait par l'expérience de l'Histoire que l'Allemagne a de la suite dans les idées et de la constance dans l'action.
L'Allemagne n'a donc plus besoin de l'Union européenne, mais elle va continuer d'y exercer un rôle prééminent, renforcé par la décision souveraine de sa Cour constitutionnelle. Elle peut désormais jouer sur les deux tableaux, manier sans complexes la carotte et le bâton, tout en brandissant la bannière de la démocratie. Au Parlement européen, trois des sept groupes politiques sont dirigés par des Allemands, « qui prennent aussi la présidence d'un petit tiers des commissions parlementaires. Les chrétiens-démocrates allemands obtiennent, entre autres, celle de l'industrie, tandis qu'un social-démocrate présidera celle de l'environnement. Deux positions jugées stratégiques pour défendre les intérêts de l'industrie allemande » . C'est un Allemand qui en prendra la présidence à mi-parcours. L'Allemagne va sans doute aussi utiliser l'aura nouvelle qui entoure son droit pour faire avancer sa composante ethniciste.
Au moins de ce côté-là, on ne saurait dire que « l'Allemagne n'a aucune prétention à l'universalité » . Sous le patronage du Club de Budapest, le KDUN (Komitee für eine demokratische UNO) milite ainsi pour la création d'une Assemblée parlementaire auprès des Nations Unies. Il a présenté à ce sujet, en octobre 2004, sous la plume d'Andreas Bummel, une étude de stratégie pour « développer la démocratie internationale ». La traduction française du texte original en allemand a été assurée par deux personnes dont l'une est membre de la « Société pour les peuples menacés Suisse ». Il s'agit là d'une filiale de la Gesellschaft für bedrohte Völker (Göttingen), qui veut imposer à l'échelle mondiale des droits collectifs à caractère ethnique. Son président, Tilman Zülch, est l'un des 23 membres du conseil consultatif du KUDN, où il apparaît comme « spécialiste des droits de l'homme ». A ses côtés, on y trouve aussi les eurodéputés Jo Leinen, nouveau président de la Commission de l'Environnement au Parlement européen, et Elmar Brok, combattant de longue date pour un droit européen des Volksgruppen.
En affirmant qu'il n'y a pas de peuple européen, la Cour constitutionnelle laisse en un sens libre cours à des déclarations comme celles du professeur Dietrich Murswieck, mandataire du député CSU Peter Gauweiler dans le « procès Lisbonne ». Lors d'un entretien avec l'hebdomadaire Junge Freiheit, il a dit que « jusqu'à présent, les peuples des Etats membres sont les sujets dont émane, et d'eux seuls, la légitimation démocratique de l'UE ». La reconnaissance d'un « peuple européen » aurait représenté, selon lui, « un changement de paradigme aux dépens de l'autodétermination nationale des peuples européens ». N'y a-t-il pas là une reconnaissance implicite de peuples « ethniques » ? Certains de leurs « représentants » sont d'ailleurs d'ores et déjà au Parlement européen, dans le Groupe Les Verts/ALE. Dans un registre analogue, le président de la CSU plaide pour « le principe Europe des régions, avec une responsabilité renforcée des parlements nationaux » . C'est bien la Bavière qui a fondé en 1977 le Verein zur Förderung der Volksgruppen- und Minderheitenrechte, devenu en 1991 l'Internationales Institut für Nationlitätenrecht und Regionalismus (Institut international pour les droits des groupes ethniques et pour le régionalisme)
Max Gallo s'est déclaré « très heureux que des juristes allemands enfin disent clairement et hautement qu'il n'y a pas de peuple européen, qu'il y a des peuples européens », ayant intérêt à coordonner leur action. Il a pensé ces dernières années « que le salut viendrait de l'Allemagne par rapport à la fin des rêves européens ». C'est « le retour de la nation allemande, et je dis tant mieux » . Dans cette manifestation de souveraineté, on peut aussi ne voir qu'une manoeuvre de l'Allemagne pour asseoir son hégémonie sur l'Europe
dimanche 27 septembre 2009
site: Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres ...
En Edito : Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres
Debout !
Comme toujours dans l'histoire de notre pays, la bourgeoisie capitaliste se livre au sac de
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Edito
Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres
Debout !
Comme toujours dans l'histoire de notre pays, la bourgeoisie capitaliste se livre au sac de grande ampleur contre tous les acquis sociaux gagnés lutte après lutte par les travailleurs.
Depuis 1936 leur volonté est la même : reprendre ce qu'ils ont été obligé de concéder !
Les attaques frontales et totales leur sont difficiles, ils agissent donc de façon masquées ! Après les privatisations de toutes sortes et la casse des entreprises ou les reculs des remboursements de la sécu, c'est maintenant au tour de la poste, menacée de pleine privatisation qui conduira tout droit vers des services réduits et plus chers, des zones urbaines et rurales verront disparaître la distribution individuelle du courrier celui-ci étant mis a disposition dans des boites à lettres collectives, des centaines de bureaux de poste vont donc disparaitre et les emplois aussi (Note de RoRo: La Poste: c' est la même chose en Belgique dans le cadre des privatisation décidées et imposées par l' Euro-dictature capitaliste et nos gouvernants nationaux deds partis "démocratiques", complices des multinationales et des banques).
La sécu, au nom du déficit crée par les laboratoires et l'Etat, va encore diminuer les remboursements au profit des mutuelles capitalistes ; sans parler des retraites dont les montants se réduisent tout en allongeant le nombre d'années de cotisation, victimes là aussi du chômage, de la dégradation organisée des conditions de travail et des cadeaux faits aux entreprises capitalistes.
Les valeurs Républicaines d'égalité de fraternité et de liberté sont bafouées, la pression policière voulue par le pouvoir devient obsédante, s'exerçant notamment sur les salariés qui défendent leurs statuts, leurs salaires, leurs emplois, leurs opinions. La " chasse " aux syndicalistes est présente à grande échelle dans toutes les entreprises, le tissus social craque de plus en plus, poussant les plus pauvres, les chômeurs, les émigrés (ou leurs enfants) vers la marginalisation et les conditions de logement de plus en plus précaires voire même sur les trottoirs ou campements de fortune ; les classes moyennes se prolétarisent.
Pendant ce temps le président crache sur les lois élémentaires de la République, hier encore, concernant la présomption d'innocence dont tous les citoyens ont la garantie par nos Constitutions depuis 1945 ; dans le passé il faut remonter à l'époque de Daladier préparant Vichy pour constater de pareilles tentatives de fascisation de la vie publique.
Devant l'ensemble de ces préoccupations, les partis et les syndicats d'accompagnement nous montrent leur timidité complice pour organiser la contre-attaque nécessaire du peuple de France.
Les partis se préparent avant toutes choses aux élections régionales et les syndicats tergiversent pour organiser globalement la réplique de grande ampleur.
Ouvriers, employés, techniciens, salariés, retraités, travailleurs, peuple de France, Debout, Poussez vos partis, organisations et syndicats à l'action
Que notre grande CGT redevienne le syndicat de luttes de classes, envoyons Thibault et ses amis réformistes, planter des choux !
Que Chérèque rejoigne sa centrale Européenne aux ordres des capitalistes !
Que le PCF et les partis de gauche élaborent enfin un programme populaire présenté à la population pour discussions et amendements
Cessons le travail, descendons dans les rues pour la défense des libertés et du niveau de vie, des protections sociales, et la défense des services publics
Muselons les dirigeants de la bourgeoisie, établissons la république sociale et démocratique
M.Mélinand (sept.-09)
[romain : paix_socialisme_communisme] Comuniqué de presse - De Morichar à Beillard
Comuniqué de presse Le 26 septembre 2009 De Morichar à Belliard Suite à des pressions et des menaces policières (trois visites de la police de Saint-Gilles dont une descente particulièrement intimidante) Contrairement à ce qui a parfois été écrit, les occupants ne sont pas des sans-papiers mais des mal-logés. Ils sont cependant nombreux à avoir un statut provisoire (carte orange : séjour provisoire), et les menaces policières de ce week-end ("Si vous ne sortez pas, on vous renvoie dans votre pays!") ont eu l'effet de terreur escompté. Lundi 21 au matin l'huissier de justice s'est présentée avec le commissaire et une vingtaine de policiers de Saint-Gilles pour expulser les derniers occupants de l'immeuble au profit de l'Al Sabah trust Company, (siège social, Bank of American Building, 50thy Street, Panama). Après avoir ainsi servi les intérêts de spéculateurs et jeté à la rue des dizaines de familles qui avaient enfin trouvé un lieu de vie décent, les policiers ont remis l'immeuble aux vigiles. Les familles mal logées se sont installées au 45 rue Belliard, dans un vaste immeuble du quartier européen présentant les même qualités d'hygiène, de sécurité et de confort que l'immeuble de la place Morichar. Nous n'avons pas eu de difficultés à trouver un nouvel endroit en trois jours, car nombreux sont les immeubles vides à Bruxelles, cette ville où trouver un loyer abordable ou un logement social est devenu mission impossible. Vendredi 25 septembre, nous avons reçu du même cabinet d'huissiers un avis d'expulsion prenant cours ce samedi minuit pour l'immeuble de la rue Belliard. De prétendues raisons "urgentes" nécessiteraient de remettre à la rue 150 personnes. Cela nous a d'autant plus surpris que nous avions pu obtenir un rendez-vous avec le secrétaire d'Etat au logement Christos DOULKERIDIS et les représentants du propriétaire le mardi 29/09 à 14H30 dans l'espoir de signer une convention d'occupation provisoire.. Nous qui occupons la rue Belliard, nous invitons les sympathisants, les journalistes, les militants du droit au logement à ne pas attendre la prochaine opération policière pour nous rendre visite. Nous croyons que notre expérience mérite un moment d'attention. Nous venons du Maroc, de Slovaquie, d'Iran, d'Algérie, du Cameroun, du Niger, de Russie,... mais aussi de Belgique et nous construisons ensemble, contre la misère et la précarité, un espace de vie digne. Merci de vous annoncer en téléphonant au 0477/24.57.97 ou au 0485/97/40.41 Les Occupants. |
jeudi 24 septembre 2009
Vingt ans après la chute du Mur
Dans ce Bulletin
- Vient de paraître
- Pour cause de succès
- Qui sommes-nous ?
- Changer votre adresse e-mail
- S'inscrire ou se désinscrire
Vient de paraître : Études marxistes n° 87
Vingt ans après la chute du mur de Berlin, l'Union européenne s'apprête à de multiples festivités commémorant l'événement. Mais qu'y a-t-il à fêter pour la population de l'est de l'Europe ? Le taux de croissance exceptionnel dont ces pays ont bénéficié pendant quelques années était essentiellement basé sur un endettement sans précédent auprès des banques occidentales et s'est effondré avec la crise. Partout, le chômage croît. Des coupes sombres dans les budgets sociaux augmentent les inégalités et provoquent des manifestations.
Angela Barthes démontre comment les pays d'Europe postsocialiste sont également soumis, depuis la chute du mur, à une perte de population, pouvant atteindre près de 20 % dans certains pays.
Ce numéro comporte en plus des contributions de A. Mironov et V. Fedorov sur les conséquences désastreuses de la restauration du capitalisme en Russie et en Lettonie pour les jeunes et l'emploi.
La situation déplorable des pays de l'Europe de l'Est doit être imputée en premier lieu au renversement du socialisme dans la région. Même parmi les communistes, on entend plusieurs explications de ce renversement. Les thèses du 18e congrès du Parti communiste de Grèce sur le socialisme analysent comment au fil des années l'abandon des principes socialistes dans l'économie a pu préparer la naissance d'une couche privilégiée. Pour les communistes grecs, cette évaluation critique ne remet nullement en question la nécessité et l'actualité du socialisme. Au contraire.
La crise aidant, le moment est venu de relancer la discussion sur toutes les leçons à tirer des expériences passées, mais aussi actuelles. Pol De Vos livre ainsi une analyse du processus de transformation au Venezuela et de ce que Hugo Chávez appelle « le socialisme du 21e siècle ». (lire plus et commander ce numéro)
Pour cause de succès: reprise de la promenade à travers Bruxelles révolutionnaire
Attention : pour cette promenade du dimanche 4 octobre prochain, l'inscription préalable (voir lien plus bas) est obligatoire ! Encore quelques places disponibles.
Départ à 14 heures, place de la Monnaie, 1000 Bruxelles.
Tout est fait pour faire oublier que la révolution de 1830 était en premier lieu une insurrection populaire. Le 21 juillet, fête nationale, ce n'est pas la révolution qui est commémorée, mais bien la récupération de celle-ci par la bourgeoisie, la noblesse et l'Eglise ! (Lire plus et inscription)
Qui sommes-nous ?
L'Institut d'études marxistes s'est fixé comme objectifs
- de populariser la vie et l'uvre de Karl Marx, ainsi que celle des grands auteurs marxistes
- de faire connaître les réalisations du mouvement communiste international et des États socialistes
L'Institut d'études marxistes
- publie la revue trimestrielle Études marxistes, qui s'efforce d'analyser le monde contemporain au moyen de la méthode marxiste
- possède une bibliothèque de plus de 7000 ouvrages et documents (y compris des documents audiovisuels) ainsi qu'une collection unique de revues et de journaux communistes et révolutionnaires du monde entier
- organise des cours sur le marxisme, allant de cours d'introduction à l'étude des grands classiques à l'application de la méthode marxiste aux problèmes contemporains
- dispose d'un site web, http://www.marx.be, qui publie Études marxistes en ligne, ainsi que d'autres documents marxistes, et qui reflète tous les aspects de l'activité de l'Institut.
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Au plaisir de vous acceuillir sur notre site.
GE • SAM 26.9.09 • Séminaire des forces anticapitalistes
www.solidarites-ge.ch
«Séminaire des forces anticapitalistes»
à la Maison des associations (15 Savoises) • Salle Gandhi
sur le thème
«Crise du capitalisme: analyses, perspectives, alternatives»
Analyses, perspectives et alternatives
1. Pourquoi un séminaire des forces anticapitalistes?
a) lorsqu'il s'agit de remettre en cause le capitalisme lui-même les forces réformistes se désistent le plus souvent. On ne peut donc pas compter sur elles pour des mobilisations à contenu anticapitaliste ;
b) les forces anticapitalistes sont aujourd'hui très fragmentées, cela les affaiblit fortement tant sur le plan de la force de conviction des contenus mis en avant, que sur le plan des mobilisations pratiques.
Le séminaire doit à la fois servir d'amorce à une discussion entre les forces anticapitalistes et à une clarification des divergences et des convergences au sein et entre ces forces. L'accent doit être mis sur les questions de contenu : notre représentation d'une société non capitaliste. Les différences de points de vue doivent servir le débat, et non le briser.
Nous partons aussi de l'idée qu'un accord sur l'anticapitalisme peut rapidement venir, mais qu'un accord sur la société que nous voulons et porterons est bien plus difficile. En effet, pour cela il faudra admettre et digérer sa propre Histoire, donc la critiquer. Nous essayerons de marcher sur nos deux pieds : d'un côté la théorie est indispensable, elle nous fournira nos hypothèses de travail, de l'autre l'ancrage pratique dans les mouvements est tout aussi indispensable, il nous servira de repère confirmant ou infirmant nos hypothèses.
Les organisations qui le désirent s'exprimeront sur la crise actuelle du capitalisme. Est-elle comme toutes les autres crises, socialement douloureuses mais renforçant finalement le capitalisme ? Ou est-elle plus que les autres, et en quoi ? Que signifie-t-elle pour leur stratégie, remet-elle en cause certaines certitudes ou pratiques des forces anticapitalistes ?
b) Dès 13h30
Echange d'idées et discussions sur les alternatives au capitalisme.
Ce débat sera ouvert à tous et toutes les participant.e.s. L'Organisation socialiste libertaire, Action autonome, Ecologie radicale, les syndicats et le Nouveau Parti anticapitaliste ont déjà annoncés des interventions...
c) Dès 16h30
Les mobilisations à venir : OMC, WEF, etc.
samedi 19 septembre 2009
L'inauguration de la nouvelle gare des Guillemins à LIEGE ...
mercredi 16 septembre 2009
[listalr] Invitation à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août
Prière de diffuser ce message - Pour recevoir ou ne plus recevoir mes messages ou m'envoyer vos commentaires, écrivez à : Antonio Artuso, Montréal, Canada - pueblo@sympatico.ca
Please circulate this message - To receive my messages, to be removed from my list or to send comments, please write to: Antonio Artuso,
Por favor difundir este mensaje - Para recibir mis mensajes, dejar de recibirlos o enviar sus comentarios escriba para: Antonio Artuso, Montreal, Canadá - pueblo@sympatico.ca
From: histoire [mailto:histoire@mcicom.net]
Sent: Tuesday, September 15, 2009 4:41 PM
To: listalr@communweb.com
Subject: [listalr] invitation à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août
Liste de diffusion de Annie Lacroix-Riz
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Chacun de nous est maintenant invité à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août sur http://23august.kke.gr
Je reproduis ci-dessous en français l'appel
Jean Pestieau
Ripostons massivement et résolument à l'anticommunisme et à toutes ses expressions
Nous, cadres, membres, amis et sympathisants des Partis communistes et ouvriers, élus aux parlements, au niveau local, à la direction des syndicats et des organisations de masse, dénonçons la tentative d'assimiler le communisme avec le nazisme au travers des efforts visant à proclamer le 23 août de "jour de la mémoire de leurs victimes".
Cet effort de falsifier l'histoire a le soutien de forces politiques au service du capital. Il s'est manifesté de diverses façons au cours des dernières années, notamment par des résolutions de divers organes inter-étatiques et d' institutions parlementaires.
Ayant d'abord rebaptisé le 9 mai, jour de la victoire des peuples [1945] en "journée de l'Europe" dans le but d'effacer la photo du drapeau rouge flottant sur le Reichstag, ils poursuivent aujourd'hui leur plan d'identifier la victime avec le bourreau en se référant à la journée [23 août 1939] où le pacte Molotov-Ribbentrop de non agression a été signé.
Ces forces visent à dissimuler le caractère de classe impérialiste du nazisme-fascisme
Elles veulent cacher le fait que la victoire des peuples porte le sceau indélébile de l'Union soviétique, de l'Armée rouge et des mouvements de partisans, dans lesquels les communistes ont été à l'avant-garde dans le monde entier.
Ces forces veulent blanchir l'impérialisme, qui a engendré le fascisme. Aujourd'hui, 20 ans après la contre-révolution, elles veulent blanchir les massacres impunis que ce même impérialisme perpètre le monde.
De cette façon, elles aspirent à atteindre politiquement et idéologiquement tous ceux qui continuent à lutter contre l'exploitation et l'injustice de classe, qui résistent à l'attaque barbare contre tout droit social, syndical et démocratique du peuple projeté dans les conditions de crise économique mondiale du capitalisme .
Travailleurs, paysans, femmes, jeunes, retraités, anciens combattants et combattants de la lutte antifasciste,
* Mobilisez-vous vigoureusement contre la ré-écriture et la falsification de l'histoire
* Donnez une réponse résolue afin d'annuler toute tentative
d'organiser des manifestations anti-communistes, le 23 août.
* Faites connaître la vérité historique
* Défendez la lutte intransigeante contre l'impérialisme, pour une autre société, sans guerre, sans chômage, sans pauvreté et exploitation. Pour le socialisme
lundi 14 septembre 2009
[romain : paix_socialisme_communisme] Les Irlandais priés de bien voter cette fois-ci. La dérive totalitaire européiste en action. - Le Vrai Débat
On en parle très peu en France, et pourtant dans moins d'un mois se jouera en Irlande un événement capital pour l'avenir de l'Union européenne. Le 2 octobre en effet, les électeurs irlandais sont appelés à revoter sur le Traité de Lisbonne, dans une version en tout point identique à celle qu'ils avaient rejetée par 53% des voix en juin 2008.
Deux mots résument la campagne qui débute : dérive totalitaire. Il ne faut pas craindre en effet d'employer cette expression, la plus appropriée pour décrire le climat dans lequel les Irlandais vivent les semaines qui les séparent du scrutin.
L'existence d'un deuxième référendum serait déjà en soi suffisante pour pouvoir parler de dérive totalitaire. Lorsqu'on refait voter un peuple sur un texte à 100% identique à celui sur lequel il vient de s'exprimer, on n'est clairement plus en démocratie. Les partisans les plus zélés, ou les plus aveugles, de l'Europe de Bruxelles pourront toujours essayer de trouver une justification plus ou moins tirée par les cheveux. Du point de vue des principes démocratiques, il ne peut pas y en avoir. S'ils tolèrent ce genre de procédés, ils ne sont pas démocrates. C'est leur droit, mais ils doivent en être conscients.
La dérive totalitaire concerne également la campagne référendaire. Seul parmi les 27 de l'Union européenne à avoir eu la possibilité de s'exprimer par référendum, le peuple irlandais est soumis à une terrible pression des milieux eurocrates politiques, administratifs et financiers.
Pour "éclairer" les électeurs, la commission européenne vient par exemple de publier un livret http://ec.europa.
Au niveau national, la quasi totalité des partis irlandais soutiennent le OUI, du Fianna Fail parti du premier ministre Brian Cowen au Fine Gael, principal parti d'opposition.
Craignant que l'impopularité du premier ministre ne rejaillisse sur le scrutin (selon les derniers sondages, 85% des Irlandais sont mécontents de sa politique), le Fine Gael vient d'appeler les électeurs à "attendre les prochaines élections pour sanctionner le premier ministre. Pour le moment il faut dire oui à l'Europe". C'est beau comme du François Hollande...
On remarque que pour tromper l'électeur, on utilise toujours ce genre de raisonnement consistant à dissocier politique nationale et politique européenne, alors que cette dernière conditionne la majeure partie des politiques économiques des gouvernements (et c'est précisément sur ce point que les Irlandais sont mécontents de Cowen), et que 80% des lois nationales sont directement issues de Bruxelles dans la plupart des Etats membres.
Il est donc parfaitement cohérent, et lucide, de voter contre l'Europe de Bruxelles lorsqu'on est mécontent de son gouvernement. Parler de confusion des scrutins est une escroquerie, une manipulation destinée à contenir la colère légitime des peuples.
Il va de soi que dans les médias, le camp du OUI est surreprésenté, bénéficiant de l'engagement des deux partis les plus importants du pays. Ceux qui se souviennent du déluge de propagande qui s'abattit sur la France lors la campagne référendaire sur la Constitution européenne en 2005 comprennent ce que vivent grosso modo en ce moment les Irlandais, d'une façon sans doute encore aggravée, en raison des pressions eurocrates plus fortes que jamais.
Autre dérive totalitaire, les arguments de campagne. Du côté du OUI, il n'y en a pas. Le seul ressort de la campagne est la peur. Tous les arguments, même les plus ridicules, sont bons à prendre pour terroriser l'électeur : aggravation de la crise en cas de victoire du NON, expulsion de l'UE, fuite des investisseurs étrangers.
Cette stratégie de la terreur, utilisée par l'ensemble des partis du OUI, est complétée par le mensonge selon lequel l'Europe protégerait les pays membres de la crise. Un simple coup d'oeil sur les chiffres de la récession http://dechiffrages
De toute façon, comment une Europe qui a fait du libéralisme mondialisé, de la déréglementation et du libre-échange sa seule devise pourrait-elle avoir un rôle protecteur dans une crise qui s'explique précisément par la faillite de ces principes ? Un peu de logique s'impose pour comprendre la réalité des chiffres, et déminer les mensonges du camp des eurobéats.
Enfin, les grands patrons irlandaisl http://blogs.
Référendum après référendum (ils sont d'ailleurs de plus en plus rares), les pressions exercées sur les peuples européens pour qu'ils "votent bien" (et si possible du premier coup !) se renforcent, jusqu'à verser dans la dérive totalitaire pure et simple. Très clairement, quand il s'agit d'Europe, et parce qu'on touche à l'évidence au coeur de la machine, là où se prennent les vraies décisions, les peuples ne sont pas les bienvenus.
L'Irlande n'est pas la seule concernée. Le phénomène est général. Il est particulièrement fort en France où des parlementaires de tous bords, http://www.levraide
La propagande depuis n'a jamais cessé. Pour vous en convaincre, visionnez ce court reportage http://www.france24
Les démocrates dignes de ce nom doivent réagir, et vite.
Pour l'heure, nous ne pouvons que souhaiter une victoire du NON en Irlande, le 2 octobre prochain. Ce NON sonnerait comme un désaveu terrible pour l'ensemble des "élites eurocrates". Les derniers sondages montraient une avance assez confortable du OUI, mais en reflux. Espérons que les partisans du NON sauront amplifier le mouvement.