jeudi 13 janvier 2005

La bête fasciste n'est pas morte

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----- Original Message -----
From: Al Faraby
Sent: Thursday, January 13, 2005 12:15 AM
Subject: [ForumCommuniste] La bête n'est pas morte ...
A contre courant ...
( Al Faraby )

La bête n'est pas morte ...
( Jeudi, 13 janvier 2005 )

Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a estimé dans un entretien à l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol que "l'occupation allemande (en France) n'a pas été particulièrement inhumaine" et qu'"il y aurait beaucoup à dire" sur le massacre d'Oradour-sur-Glane.

Les propos tenus par Jean-Marie Le Pen montrent combien nous devons rester vigilants à la résurgence de la pensée immonde et que finalement la bête n'est pas morte.

En France comme ailleurs, dans d'autres contrées et sous d'autres cieux, elle végète le même poison.

Elle tue encore et toujours.

L'indignation ne doit pas être sélective. La vigilance doit être totale.

C'est la raison pour laquelle nous avons choisi de ne pas nous taire et d'élever la voix pour crier haut et fort : "Assez"

En France ou ailleurs, aujourd'hui ou demain, peu importe le lieu ou le moment, il ne faut jamais céder.

La bête est prête à resurgir en tout lieu, à tout instant, pour commettre ses crimes. Elle peut prendre toutes les formes possibles, même les plus inimaginables ou inattendues. Elle est en mesure de s'adapter à toutes les circonstances. Même des victimes d'hier sont aujourd'hui capables de s'en accommoder pour irriguer le sang noir dans les veines de l'Humanité. C'est en cela que la cause de ceux qui résistent de nos jours contre l'absurde est universelle.

Inclinons-nous en mémoire des enfants d'Oradour-sur-Glane.

Inclinons-nous devant ces enfants aux mains nues qui lancent des pierres sur des soldats qui démolissent leurs maisons et détruisent leurs villages... qui les écrasent de leurs puissants chars tels de vulgaires vers de terre !

Lire : http://www.aloufok.net/article.php3?id_article=1854

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dimanche 2 janvier 2005

BELGIQUE : la campagne de Médecine pour le Peuple contre le prix des médicaments bat son plein .... et obtient des résultats.

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BELGIQUE : la campagne de Médecine pour le Peuple contre le prix des médicaments bat son plein .... et obtient des résultats.



----- Original Message -----
From: Jos Hennes
Subject: Communiqué de presse de Dirk Van Duppen: A propos des plans du ministre Demotte concernant les mesures d'adjudication publique des médicament
Communiqué de presse de Dirk Van Duppen
(Veuillez forwarder ce message au journaliste impliqué. Merci beaucoup)

A propos des plans du ministre Demotte concernant les mesures d'adjudication publique des médicaments

Messages essentiels

1. C’est une première victoire que de lancer tout un mouvement chez les patients de la base et à un échelon au-dessus, parmi les organisations syndicales (LBC non-marchand) et socioculturelles (KWB), les médecins et les professeurs, qui ont soutenu ensemble les exigences formulées dans l’ouvrage “ La guerre du cholestérol. Pourquoi les médicaments sont si chers ”.
2. C’est une confirmation de ce qui figure dans le livre : l’essence du modèle Kiwi est totalement applicable, juridiquement parlant, dans le cadre de la législation européenne.
3. L’adjudication publique peut être appliquée par étapes pour les médicaments qui sont hors brevet et pour lesquels, d’un point de vue scientifique, il existe un important besoin : d’abord, le paracétamol, le réducteur de cholestérol simvastatine et, ensuite, d’autres sous-classes de médicaments pouvant couvrir jusque 80% des besoins. Cela ne signifie nullement une réduction de la qualité, au contraire : cela stimule une attitude de prescription plus rationnelle et décourage le marketing excessif.
4. L’association de la “ prescription du principe actif ” (PPA) à l’adjudication publique et la distribution en emballages pour clinique en pharmacie même donne la possibilité au médecin de prescrire à la mesure du patient et de sa maladie, et cela résout le problème des armoires à médicaments débordant de boîtes encore à moitié remplies d’onéreux médicaments non utilisés ou en voie de péremption.
5. Tout ceci n’a RIEN à voir avec la liberté de choix thérapeutique, car le choix doit être effectué d’abord entre des médicaments absolument identiques, portant des noms de marque différents, mais surtout présentant d’énormes différences de prix. Par conséquent, l’argument de la “ liberté de choix thérapeutique ” ne peut plus servir que d’alibi pour une liberté de pillage de l’assurance maladie.
6. Ce que rapporteront ces économies ne doit pas retourner vers les marges bénéficiaires extraordinaires de l’industrie pharmaceutique. Elles doivent aller prioritairement à la rencontre des besoins urgents sur le plan de la santé publique :
o Tout d’abord, aux 25.000 emplois nécessaires et à de meilleurs traitements dans le secteur des soins de santé.
o A un meilleur remboursement des médicaments indispensables. Aujourd’hui, déjà, un tiers des familles sont aux prises avec des difficultés de paiement de leurs médicaments.
o A un renforcement de la médecine de première ligne et généraliste.
o Du fait que le marketing excessif sera désormais muselé, cela dégagera un espace libre pour la stimulation d’une prescription des médicaments plus responsable sur le plan scientifique.

Argumentation

* Je suis heureux que l’idée de l’adjudication publique dans la politique des médicaments ait été si rapidement reprise dans des mesures législatives. Ce n’est pas seulement le résultat de mon livre “ La guerre du cholestérol. Pourquoi les médicaments sont si chers ”, mais également du soutien de plus de 30.000 signatures que Médecine pour le Peuple a rassemblées sous sa pétition, de plus de 40.000 signatures du syndicat LBC non-marchand, des 20.000 cartes de vœux reprenant les revendications de la pétition et que le KWB adresse au ministre en guise de campagne de fin d’année, et des témoignages de soutien, enfin, que nous ont apportés les deux grandes mutualités, les syndicats et quelques parlementaires du CD&V (comme Luc Goutry et Greta Dhondt) et du VLD (comme Jacques Germeaux e.a.) et, pour terminer, également de quelques hommes politiques : le président du SP.a, Steve Stevaert, le président du CD&V, Jo Van Deurzen, et le président du VLD, Bart Somers.
* La bureau d’avocats qui a reçu du ministre Demotte la mission d’étudier la faisabilité juridique de cette proposition dans le contexte européen, confirme ce qui figure dans mon ouvrage. La fixation du prix et le remboursement sont toujours aujourd’hui des compétences nationales. Ce qui est possible pour les vaccins de “ Kind en Gezin ” (L’enfant et la famille) ou pour les achats de médicaments pour les pharmacies de l’Armée belge est juridiquement possible aussi pour l’achat de médicaments par l’assurance maladie belge.
* Il importe que les adjudications publiques soient bâties sur des fondations solides sur le plan juridique. L’industrie pharmaceutique dispose d’armées d’avocats prêts à tout mettre en œuvre pour les torpiller.
* Il importe que l’on achète progressivement selon ce système la plupart des médicaments disponibles. Le système est très aisé à appliquer et il rapportera également de nombreux bénéfices pour les médicaments suivants, pour lesquels, d’un point de vue scientifique, il existe une importante demande ou besoin.
O Ceci est tout d’abord d’application pour le principal antalgique et antipyrétique, le paracétamol. Celui-ci existe sous 15 marques différentes sur le marché belge. Le prix de la marque la moins chère est de 11 euro-centimes pour un comprimé de 500 mg, la plus chère coûte 16 euro-centimes. Aux Pays-Bas, ce même comprimé de paracétamol, que l’on trouve dans des supermarchés comme “ Kruitvat ”, est de… 1,8 euro-centime !!! soit à peu près un dixième du prix chez nous. Si nous achetons le paracétamol auprès de l’ONG belge Orbipharma, afin de l’utiliser dans les pays du tiers monde, le prix d’un comprimé représente le septantième du prix payé en pharmacie. Qualitativement, le paracétamol est l’antalgique de premier choix pour les patients âgés souffrant de polyarthtorse. Ce sont les plus gros consommateurs de médicaments. Aujourd’hui, les médecins prescrivent plutôt des NSAID (Brufen, Voltaren, Feldene), et la situation est encore plus grave depuis deux ans environ que l’on prescrit surtout les NSAID cox-2 de type Vioxx, qui sont quatre fois plus chers et sans doute moins sûrs encore que les NSAID classiques. Il a été scientifiquement prouvé que l’effet calmant d’un NSAID ne diffère en rien, ou si peu, de celui du paracétamol. Mais, vu que les NSAID sont remboursés, et pas le paracétamol, il est moins onéreux pour le patient de prendre ces NSAID plutôt que le paracétamol. Via l’adjudication publique, le prix du paracétamol peut être facilement ramené à un vingtième de l’actuel prix public, ce qui permet très facilement son remboursement intégral sur ordonnance (remboursement de catégorie A). Résultat : C’est mieux pour le patient : même effet calmant, moins d’effets secondaires, et remboursé; c’est mieux pour l’assurance maladie : il ne coûte qu’une fraction du prix des NSAID et certainement de celui des coxibs (de type Vioxx). En Nouvelle-Zélande, c’est en 1997 qu’on a organisé la première adjudication publique autour du paracétamol. Une raison supplémentaire en faveur de ce choix, c’est que les patients acceptent aisément de prendre du “ paracétamol ” au lieu des produits de marque comme le Perdolan et le Dafalgan.
O C’est d’application en second lieu pour les statines. La simvastatine (nom de marque : Zocor) est, parmi les réducteurs de cholestérol le produit qui possède la meilleure assise scientifique. Déjà aujourd’hui, il y a sur ce produit la plus grosse distorsion de prix du marché belge ; pour 98 comprimés à 40 mg, la différence de prix entre le générique le meilleur marché (54 euros) et le produit de marque le plus cher (124 euros) est de 70 euros, soit 130% !!! Il existe huit produits sur le marché belge. Le chiffre d’affaires de la simvastatine doit tourner autour des 70 millions d’euros, dont la plus grosse part pour l’onéreux Zocor. Une bonne application de l’adjudication publique permettrait déjà d’économiser des dizaines de millions d’euros rien que pour ce seul médicament. Si, dans cette sous-classe, il pouvait encore y avoir un glissement des médicaments très chers, mais pas encore hors brevet (de type Lipitor ou Crestor) vers les simvastatines au moins équivalentes, cela pourrait rapporter, une fois encore, quelques dizaines de millions d’euros. Le budget de ces réducteurs de cholestérol qui, ces cinq dernières années, ont connu une croissance exponentielle, a été plafonné à 190 millions d’euros.
O Le même raisonnement peut s’appliquer aux réducteurs de l’acidité gastrique, tant de la sous-classe des antagonistes récepteurs H2 (de type ranitidine, marque Zantac) que des PPI (de type oméprazole, marque Losec). En Belgique, il y a neuf producteurs de ranitidine, à 19 euros pour le moins cher contre 39 euros pour le Zantac, soit 20 euros (ou 51%) de trop. Le prix de la ranitidine en adjudication publique en NouvelleZélande est de 5 euros. En 2003, dans notre pays, on a vendu pour 23 millions d’euros de ranitidine, dont 80% du très cher Zantac. Chez nous, il y a onze producteurs d’oméprazole, à 25 euros pour le moins cher et 53 euros pour le plus cher (Losec), soit 28 euros (ou 53%) de trop. En Nouvelle-Zélande, AstraZeneca vend son Losec à 17 euros. En 2003, on a vendu dans notre pays pour 170 millions d’euros en PPI, dont 73 millions d’euros pour l’oméprazole, dont plus de la moitié pour le très onéreux Losec et encore 20 millions d’euros pour le Nexiam, encore plus cher, un PPI qui contient le même principe actif que le Losec, mais qui est parvenu à obtenir une prolongation de brevet grâce à des chipotages. Ces chiffres montrent que dans cette classe de médicaments, on peut également épargner des dizaines de millions d’euros en appliquant cette mesure simple, et sans la moindre perte de qualité.
O Dans mon étude, l’aciclovir, un antiherpétique, présentait la plus grande distorsion de prix. Six producteurs, à 23 euros pour le moins cher, contre 102 euros pour le plus cher (Zovirax), soit 79 euros (ou 77%) de trop. Prix de l’aciclovir en Nouvelle-Zélande : 9 (neuf !) euros.
O Cette politique est possible pour les principaux antibiotiques (par exemple : l’amoxycilline, de marque Clamoxyl, actuellement mise sur le marché pour un dosage de 500 mg par 16 producteurs; la différence de prix entre le meilleur marché et le plus cher est de 100%), pour à peu près tous les anti-inflammatoires (seuls les sélectifs cox-2, comme le Vioxx, ne sont pas encore hors brevet, mais ils sont sans doute moins valables, scientifiquement parlant, voir l’histoire du Vioxx), pour l’écrasante majorité des hypotenseurs (également les plus innovateurs, tels les inhibiteurs d’ACE et les antagonistes calciques), pour les antidépresseurs SSRI. Bref, pour plus d’un tiers des médicaments et si on pratique la substitution par sous-classe, pour plus de 80% de la consommation de médicaments.
O Tout ceci n’a RIEN à voir avec la liberté de choix thérapeutique, car le choix doit avant tout s’opérer entre des médicaments absolument identiques de marques différentes, mais avec surtout d’énormes différences de prix. Donc, l’argument de la “ liberté de choix thérapeutique ” n’est une fois de plus qu’un alibi pour justifier une liberté de pillage de l’assurance maladie.
O Ceci ne signifie pas qu’il y aura la moindre diminution de la qualité, au contraire, cela stimule une attitude de prescription plus rationnelle et décourage le marketing excessif (la publicité, actuellement, représente déjà 30% du prix de fabrication d’un médicament).
O Les pouvoirs publics feraient mieux d’élargir leur quête d’offre de médicaments en dehors de la Belgique et même du marché européen. Les grands producteurs de médicaments génériques se trouvent dans des pays comme l’Inde. Les vendeurs de médicaments génériques présents en Belgique ou en Europe, tant les grosses firmes pharmaceutiques (comme Sandoz, de Novartis) que les plus modestes acteurs achètent en effet leurs produits, eux aussi, chez ces producteurs. Il s’agit en général de produits identiquement les mêmes, fabriqués avec les mêmes matières premières, avec les mêmes machines et par les mêmes travailleurs. L’incorporation de firmes intermédiaires n’a aucun sens, au contraire. Cela coûte à l’assurance maladie, cela n’a rien à voir avec l’emploi et cela ne rapporte qu’aux chiffres d’affaires de ces vendeurs intermédiaires.
* Selon la législation européenne, les pouvoirs publics ne peuvent, pour l’instant, du moins, refuser sur le marché les médicaments qui ne sortent pas d’une adjudication publique. Mais ils peuvent néanmoins décider avec bon sens de rembourser ou pas ces produits. Nous préconisons de ne plus prendre ces autres produits en ligne de compte pour le remboursement. Il est ambigu de les reprendre, par exemple, en catégorie C (remboursement à 50%). Dans ce cas, l’assurance maladie rembourse encore trop. Dans ce cas, les médecins qui subissent de fortes pressions de la part du marketing vont quand même prescrire ces médicaments onéreux. Et on ne peut attendre du patient que, sur ce plan, il aille prendre position contre l’avis de son médecin. Cela mettrait inutilement sous pression la relation entre le médecin et le patient. La mesure doit être associée à une limitation du marketing excessif des firmes pharmaceutiques.
* Il est facile d’associer le système d’achat par adjudication publique au système de la prescription du principe actif (PPA), dans lequel la livraison aux pharmacies peut se faire en conditionnements cliniques. Le médecin prescrit la dénomination scientifique du médicament, le pharmacien fournit en fonction de cette dénomination les comprimés de la marque qui a remporté l’adjudication publique. De la sorte, le médecin peut également mentionner sur la prescription le nombre de doses quotidiennes à la mesure du patient et de sa maladie. De la sorte, le pharmacien peut facilement livrer la quantité et le dosage adéquats. Et, de la sorte, nous évitons les armoires à pharmacie remplies de flacons de médicaments chers à moitié pleins et qui courent allègrement vers leur péremption. D’un seul coup, on résout un gigantesque gaspillage. Cette proposition a obtenu l’unanimité au Parlement flamand des Médecins et, de ce fait, elle a également un important retentissement chez les généralistes. Voir, à ce sujet, en néerlandais : “ Huisartsenvoorstel over VOS ” : <http://www.vhp.be/vhp/vmvos2.htm>
* Ce que rapporte ces économies ne doit pas retourner vers les marges bénéficiaires démesurées de l’industrie pharmaceutique. Elles doivent aller prioritairement aux besoins urgents sur le plan de la santé publique :
o Tout d’abord, aux 25.000 emplois nécessaires et à de meilleurs traitements dans le secteur des soins de santé.
o A un meilleur remboursement des médicaments indispensables. Aujourd’hui, déjà, un tiers des familles sont aux prises avec des difficultés de paiement de leurs médicaments.
o A un renforcement de la médecine de première ligne et généraliste. Avec de tels stimuli, les généralistes soutiendront plus facilement aussi ce système.
o Du fait que le marketing excessif sera désormais muselé, cela dégagera un espace libre pour la stimulation d’une prescription des médicaments plus responsable sur le plan scientifique.

Dr Dirk Van Duppen
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