lundi 25 octobre 2004

Si les Belges devaient voter demain, le Vlaams Blok deviendrait pour la première fois le premier parti du pays, selon un sondage.

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Les brèves 25-10
par M.Lemaire

- Si les Belges devaient voter demain, le Vlaams Blok deviendrait pour la première fois le premier parti du pays, selon un sondage. Ce parti d'extrême droite a été condamné pour racisme. Il est partisan de l'indépendance totale de la Flandre.
Le sondage réalisé par "Le Soir" et la télévision RTBF, qui a été publié lundi, constitue un véritable coup de tonnerre pour la classe politique belge. Celle-ci a été incapable d'enrayer la montée en puissance de ce mouvement issu du nationalisme flamand le plus virulent et au discours violemment anti-immigrés.
Il montre que le "Blok" gagnerait environ neuf points par rapport aux élections fédérales de 2003, où il n'était arrivé qu'en quatrième place dans le nord du pays, avec 17,9 % des votes. Il raflerait maintenant 26,9 % des voix flamandes.
Il deviendrait la première formation politique du pays - les Flamands étant plus nombreux, le premier parti de Flandre est automatiquement le numéro un dans le royaume -, reléguant les libéraux du Premier ministre Guy Verhofstadt à huit points.
Cette progression dans les sondages est partiellement attribuée à une rentrée politique chahutée. La coalition libérale-socialiste au pouvoir s'est une fois de plus déchirée entre ses ailes flamande et francophone.
Les régions du pays ont démontré qu'elles avaient des intérêts totalement contradictoires, notamment sur le dossier "chaud" de l'extension du transporteur rapide DHL.
(ats / 25 octobre 2004 15:11)

jeudi 7 octobre 2004

Continuer à combattre l'Euro..

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----- Original Message -----
From: info@comite-valmy.org
To: claude beaulieu
Sent: Thursday, October 07, 2004 3:05 PM
Subject: Continuer à combattre l'Euro..

Comité Valmy.
Cette tribune pessimiste d'économistes favorables à l’Europe supranationale néo-libérale était involontairement, la thèse du Comité Valmy selon laquelle « rien n’est irréversible », même pas l’Euro, si le peuple le décide. Bien entendu beaucoup de chemin reste à faire.Claude Beaulieu.

Le Monde -Jeudi 15 janvier 2004 ( tribune )

Les jours de l’euro sont-ils comptés ?

La pérennité de l’euro semble remise en cause par le récent rejet des Suédois et l’initiative des Britanniques de reporter une fois de plus le référendum prévu sur une éventuelle adhésion. Depuis le lancement de la monnaie unique, la zone euro traverse une période difficile — croissance anémiée, hausse rampante du chômage — alors même que le déficit budgétaire des deux principales économies de la zone dépasse le plafond de 3 % du PIB fixé par le pacte de stabilité.
Le contraste est saisissant avec les économies des pays dits « euro-sceptiques » — Royaume-Uni, Suède et Danemark —, qui partagent des taux de chômage notablement plus faibles, des taux de croissance plus élevés et des déficits budgétaires très limités (quand ils ne connaissent pas un excédent budgétaire).
Conclusion : à ce jour, la monnaie unique n’a guère enrayé le malaise économique européen et l’on ne peut manquer de s’interroger sur son éventuelle responsabilité dans les difficultés économiques actuelles de la zone euro.
Le lancement de l’euro en 1999 reposait sur une décision politique, et non sur la théorie économique de la zone monétaire optimale (ZMO). Un groupe de pays ou de régions peut constituer une ZMO lorsque leurs économies sont fortement imbriquées, à la fois au plan des échanges de biens et de services et au niveau de la mobilité des facteurs de production. Les Etats-Unis sont l’exemple le plus abouti de réussite d’une ZMO.
L’UE est-elle une ZMO ? Les échanges en son sein représentent environ 15 % du PIB de la zone, ce qui est très faible comparé aux Etats-Unis. De même, la mobilité du travail en Europe est très limitée par rapport aux Etats-Unis (sans faire référence au fait qu’elle reste faible même à l’intérieur des Etats).
Ignorant ces questions essentielles, l’euro a créé une politique monétaire unique gérée par la Banque centrale européenne, privant chaque pays de deux (de ses trois) outils de politique économique : une politique monétaire indépendante et la flexibilité des taux de change. Le troisième outil, la politique budgétaire, est lui contraint par le pacte de stabilité.
Du fait des différences entre les pays de l’UE, la diminution de l’autonomie de leurs politiques économiques est une question grave, notamment si un de ces pays subit un choc particulier qui n’affecte pas le reste de la zone euro. Si celle-ci était effectivement une ZMO, l’économie du pays traversant des difficultés s’ajusterait via :
1) la mobilité de sa main-d’œuvre avec le reste de la zone,
2) la flexibilité des salaires et des prix et/ou
3) un transfert budgétaire depuis Bruxelles.
Aucune de ces trois conditions n’était remplie à la création de l’euro, et aucune réforme structurelle ne semble être prévue pour rapprocher la zone euro d’une ZMO.
La troisième condition — la plus simple à remplir — rend nécessaire une certaine dose de fédéralisme fiscal qui reste un objectif bien lointain. En fait, l’UE — qui ne dispose que de ressources limitées (environ 1,27 % du PNB de l’UE) — ne peut procéder à des transferts budgétaires pour amortir les chocs nationaux. L’essentiel de la politique budgétaire demeure entre les mains des gouvernements nationaux, Bruxelles représentant moins de 3 % des dépenses publiques de l’Union. Fort contraste avec la situation américaine, où 60 % des dépenses publiques sont réalisées au niveau fédéral, et où la mobilité du travail et la flexibilité des salaires sont bien supérieures à celles de l’Europe.
Le calendrier électoral non synchronisé de l’UE accroît encore les difficultés, chaque pays tenant ses élections (présidentielle, législatives et municipales) indépendamment. Ces différences dans le calendrier électoral exacerbent l’asynchronisme des cycles économiques nationaux à l’intérieur de la zone euro dans la mesure où les élections s’accompagnent généralement d’une politique budgétaire expansionniste.
Malheureusement, la combinaison d’une politique monétaire centralisée et d’une politique budgétaire décentralisée aboutit à des différentiels d’inflation entre les pays de l’UE qui conduisent à des disparités du pouvoir d’achat de l’euro dans les Etats membres.
Dans le cadre d’un système de change « national », cet effet serait aisément corrigé via la politique monétaire et une appréciation ou une dépréciation « compétitive » de la monnaie. Aujourd’hui, ce n’est plus possible, la monnaie unique paralysant l’outil des taux de change tout en annulant l’indépendance de la politique monétaire. Du fait de cette incapacité à apporter une réponse flexible à l’inflation, le pouvoir d’achat de l’euro dans plusieurs pays s’érode par rapport à la moyenne de la zone et par rapport à l’Allemagne. Sur la base des taux d’inflation en Grèce et en Allemagne entre janvier 1999 et juin 2003, l’euro en Grèce est surévalué d’environ 25 % par rapport à l’euro en Allemagne. Sur la base des projections d’inflation pour les économies de la zone, en 2006, l’euro sera surévalué de 25 % dans au moins trois pays, et de 50 % dans un pays.
Nul besoin de rappeler la triste odyssée du peso argentin, lié par une parité fixe avec le dollar durant les années 1990 : ce choix politique créait de fait une union monétaire avec les Etats-Unis. En agissant ainsi, l’Argentine abdiquait l’indépendance de sa politique monétaire au profit des Etats-Unis et abandonnait sa politique de change, sans obtenir en compensation des transferts budgétaires et sans pouvoir faire jouer la mobilité du travail. Le peso devint nettement surévalué (d’environ 30 % en termes de parité de pouvoir d’achat par rapport au dollar), alors que l’économie argentine ralentit, entraînant un chômage de masse et finalement l’effondrement de la parité peso/dollar et la plongée du taux de change.
Bien entendu, il s’agit là d’un cas extrême d’union monétaire (les échanges argentins avec les Etats-Unis sont faibles comparés au volume du commerce intracommunautaire), mais la comparaison avec la situation de la zone euro reste frappante.
Néanmoins, des pays comme l’Espagne, la Grèce et la Finlande (dont les taux de chômage dépassent 10 %) doivent-ils accepter de devenir non compétitifs du fait de la surévaluation de « leur euro », ce qui conduira à une hausse du chômage ? La tentation de faire sécession ne sera-t-elle pas trop forte ?
En dernier ressort, tout dépendra de l’amélioration de la conjoncture économique européenne dans les prochaines années. Un scénario optimiste de retour à la croissance économique lèvera temporairement les doutes sur l’euro. Et si les gouvernements profitent de cette conjonsture favorable pour mettre en œuvre les nécessaires réformes du marché du travail, tout en accroissant le pouvoir budgétaire de Bruxelles, alors l’euro survivra.
Au contraire, une récession qui s’accompagnerait d’un taux de chômage structurel de 11 % à 13 % exercerait une pression insoutenable sur les pays de la zone euro. Les hommes politiques seront portés vers la solution de facilité : il leur sera difficile de résister à la tentation d’un retour indépendant au taux de change flottant. L’élargissement en bloc de l’UE à dix nouveaux pays d’Europe de l’Est ne fera qu’affaiblir davantage un attelage déjà bien branlant. Si traumatisant que cela soit de restaurer certaines monnaies nationales — pas nécessairement toutes —, certains pays, notamment les plus petits, pourraient décider d’abandonner l’euro.

par Anthony Gribe et Laurent Jacque

Anthony Gribe est banquier d’affaires (Natexis Finance).
Laurent Jacque est professeur de finance internationale à la Fletcher School of Law & Diplomacy (Boston) et au groupe HEC.


mercredi 6 octobre 2004

BELGIQUE: combustible de chauffage, où allons-nous ???: un exemple parmi tant d' autres...

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BELGIQUE: combustible de chauffage, où allons-nous ???: un exemple parmi tant d' autres...

-->Les Ricains (avec leurs sales guerres impérialistes et colonialistes), les multinationales capitalistes, l' Europe des banques et des patrons, les gouvernants à leur solde, vont nous faire crever. Et le plus étonnant, est que pratiquement personne ne pipe.
Un exemple, ce mercredi 6 octobre 2004, je me fais livrer 1.000 litres de mazout de chauffage. Coût: 449,39 euros.
Du jamais vu à ce prix.Par comparaison, le 13 novembre 2003, coût: 306,13 euros.
Ne chicanons pas, en arrondissant, cela fait autour de 45% d'augmentation en moins d'un an.
Hier, j'entendais à la télé, un chômeur belge expliquer qu'il recevait quelque 600 euros par mois pour "vivre", desquels il devait déjà extraire quelque 390 euros euros de loyer...
La semaine dernière, je remplis de diesel le réservoir de ma voiture. Coût quelque: 0.86 euros le litre. Encore du jamais vu. Lorsque j' ai commencé à circuler au diesel en septembre 1997, ce litre me coûtait 0,55 euros.
Mais le plus fort de tout cela, c' est que sur le mazout de chauffage et sur le diesel routier, l' État belge perçoit quelque 75 à 80% de taxes et d' accises et applique sur le prix de vente ... 21% de tva, donc y compris sur ses taxes déjà incluses dans le prix de vente. En Belgique, le taux le plus élevé de tva est de 21% et le plus bas 6%.Il faut encore considérer, qu'avec le tabac et les alcools, les produits de chauffage (mazout, gaz, électricité), ont été exclus du calcul de l'indice des prix à la consommation afin d' annuler leurs répercussions sur les salaires et les indemnités sociales (ce qui explique d'ailleurs, que nous avons maintenant en Belgique 3 index des prix: un réel, un faux, et un lissé sur plusieurs mois. C'est le lissé qui entraîne une fois toutes les lunes une augmentation des salaires et des indemnités de ... 2% à chaque fois).Pourquoi donc 21% de tva sur le mazout de chômage et sur le diesel routier, au lieu de 6% appliqués sur les objet de consommation courante. Parce que, circuler et se chauffer sont considérés par nos gouvernants (y compris "socialistes" et "verts") comme du luxe.Ne comptons pas sur nos syndicats intégrés au système et participationnistes pour poser la question.
Rendez-vous en hiver, aux prochains remplissages. Pas mal de gens vont avoir bien du mal à avaler leur tartine quotidienne, sans que cela n'émeuve grand monde.
Ah oui, j' ai oublié de signaler, qu'à l'âge de 64 ans (bientôt pensionné!), je suis au chômage depuis 15 ans...
RoRo

----- Original Message -----
From: jacques chauveheid
To: roger romain
Sent: Wednesday, October 06, 2004 11:14 PM
Subject: jacques, costa rica
Cher Roger,

Bravo pour ta lettre sur le prix du mazout, et en fait le vrai problème de l'énergie que tu poses de manière concrète, car c'est comme ça qu'il faut le faire. Il y a pas mal de temps que je me "bats" pour défendre un point de vue réaliste sur cette question qui ne se résoudra malheureusement pas par une baisse d'impôts. La suite sera, d'après mes éléments, catastrophique. Mais ne paniquons pas. A ce sujet, je n'ai plus rien reçu de philinfo, et je suppose donc que ces remarques fondamentales sont simplement confrontées à l'indifférence générale.

Depuis 24 ans, je suis aussi chômeur, sans indemnité mais néanmoins avec certaines propriétés dont la valeur est élastique dans le tiers-monde, car dépendent du tourisme et de luxes de ce genre (mal placées). J'ai ainsi vivoté de manière chaotique jusqu'à la guerre d'Irak qui semble avoir mis un terme à ce genre d'affaire (petits lots bon marché pour les "locaux", etc..). Je suis dès lors sans revenu avec ma petite famille (2 enfants).

J'ai alors pensé, pour "survivre" un temps si c'était possible, à éditer un petit livre sur le sujet, dans lequel je crois que le problème est exposé (introduction, etc...) de manière à pouvoir finalement ouvrir certaine discussion réaliste sur les substituts énergétiques dans une société où les trusts pétroliers, maintenant à l'aube de leurs plus grandes affaires, contrôlent en fait toutes les institutions, non seulement les banques mais les universités, journaux, etc.. (lavage "scientifique" des cerveaux, qu'ils financent sous forme de bourses d'études, programmes de recherche, etc..). Bien sûr avec l'argent des "pauvres"qui constituent la clientèle largement majoritaire. Mais les gens ne s'en rendent pas compte une fois de plus.

Bref, si tu vois une possibilité d'intéresser un éditeur, disons "progressiste", je t'enverrais ce manuscrit, en format de livre de poche. Il fait 174 pages (9 chapitres plus trois dans un "supplément mathématique" pour les "initiés").

Bien à toi et continue sur le sujet,

Jacques

samedi 2 octobre 2004

BELGIQUE "démocratique" : un nouveau cas Sadamu ??? (à sauivre...).

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La grande presse "démocratique" va-t-elle se taire ou enquêter et informer ?

Toujours du nouveau sur :
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From: Passe Muraille
Sent: Saturday, October 02, 2004 3:06 PM
Subject: communiqué

Communiqué de Passe Muraille

La mort du jeune Nigérian à la prison de Forest le 9 août dernier ressemble de plus en plus à une "bavure".
Dernières infos
Contrairement à ce qui a été dit par la directrice de la prison, Emeka n'avait commis aucun délit lorsqu'il s'est fait contrôler par la police, il était simplement SANS PAPIERS !
Il se serait "rebellé", ce qui en général, se solde par une arrestation administrative de quelques heures et non par une incarcération immédiate à la prison.
La famille continue à se poser de nombreuses questions sur les circonstances de son arrestation et de sa mort prématurée.
Depuis peu, l'autopsie effectuée à la prison a enfin été transmise à la famille et ses avocats.
Elle conclut à une mort "naturelle" due à une pendaison. Un suicide, donc.
La contre expertise effectuée à l'université de Berlin, constate des blessures et traces de coups partout sur le corps et la figure, mais AUCUNE trace de strangulation !
Cette contre expertise expliquerait donc les nombreuses taches de sang, vues dans la cellule visitée par des représentants de l'Ambassade du Nigeria, mais contredirait les affirmations de mort par pendaison.
Au vu de la divulgation des faits, un juge d'instruction a été nommé pour éclaircir cette affaire.
Aujourd'hui, une instruction pénale est en cours et l'avocat de la mère d'Emeka a demandé des devoirs complémentaires sur ce qui avait été présenté par l'administration pénitentiaire, comme un "suicide ordinaire".
Beaucoup de questions restent sans réponses convaincantes :
1- Quel était son état physique quand il est arrivé à la prison de Forest ?
2- Quand il a été présenté à la juge Cécile Panou, elle se rappelle, qu'il était agité, exubérant et désorienté. Pourquoi ne l'a-t-elle pas envoyé à l'hôpital ou au moins fait voir par un médecin?
3- La juge Panou dit qu'il a enlevé tous ses vêtements devant elle sans qu'on ne le lui demande et précise qu'il ne présentait, alors, aucune trace de contusions.
D'après la directrice de Forest, l'infirmier qui aurait vu Emeka à son arrivée, n'a constaté "aucun problème médical particulier".
Considérant que le défunt avait de nombreuses blessures et contusions, partout sur le corps et sur le visage, si l'infirmier n'a effectivement rien vu, QUE S'EST-IL PASSE A LA PRISON DE FOREST ?
4- Pourquoi l'autopsie a-t-elle été avancée d'une heure, devançant ainsi, l'arrivée des observateurs indépendants ?
5- Où se serait-il pendu? Avec quoi et comment s'est-il pendu ?
6- D'où viennent les taches de sang vues dans la cellule? Y a-t-il eu des prélèvements et des analyses ?
7- Puisque son nom était connu des fonctionnaires, avait-t-il des papiers d'identité? Si oui, où sont ses papiers ? Où sont les affaires personnelles d'Emeka (vêtements, papiers, notes, images, téléphone portable...) Pourquoi rien n'a-t-il été remis aux parents ou à l'ambassade ?
8- L'administration veut-elle cacher quelque chose ?
La famille demande au ministère de la justice belge, les réponses à toutes les questions relatives aux circonstances et aux causes de cette mort.
L'Ambassade du Nigeria continue à mettre la pression sur les autorités belges, pour qu'elles clarifient les circonstances et les responsabilités de la mort de Chukwuemeka
A SUIVRE ...
Passe Muraille
Contacts : Belgique : passe.muraille@skynet.be
Allemagne : wiedenrothe@isdonline.de
www.emeka-ist-tot.com
Pour lire les précédents communiqués :http://www.radioairlibre.be/ clic sur "émission" puis sur "passe muraille".