mercredi 30 septembre 2009

ACN Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr



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From: "Agence Cubaine D´Information" <frenchnews@ain.cu>
Sent: Wednesday, September 30, 2009 2:57 AM
To: "Frances List Member" <roger.romain@skynet.be>
Subject: ACN Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr

Moscou a confiance… mais il voudrait être sûr
 (Néstor Núñez)

Si le président russe Dimitri Medvedev qualifie les prochains
plans expansionnistes de l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique
Nord) de dangereux pour son pays, il n'y a là rien d'étonnant.  Cela se
doit simplement au fait que cette organisation belliciste, transformée
par l'Occident en un instrument de la guerre froide il y a quelques
dizaines d'années, prétend maintenant incorporer dans ses rangs deux ex-
républiques soviétiques, l'Ukraine et la Géorgie.
La première est grosse productrice de céréales et de nombreux
gazoducs et oléoducs en provenance de Russie traversent son territoire.
La deuxième est en conflit avec Moscou, y compris dans le domaine
militaire, car les autorités géorgiennes  ont mis l'œil sur les
territoires autonomes d'Ossétie et d' Abkhazie.
En toute objectivité, Medvedev est obligé de penser à la
possibilité d'une recrudescence des disputes avec ses deux voisins
immédiats une fois qu'ils feront partie de l'OTAN, une organisation qui,
ajoutons-le, n'était pas étrangère à la gestation des infructueuses
aventures bellicistes menées récemment par la Géorgie.
La Russie ne peut pas avoir confiance en une extension de l'OTAN
ni être sûre que cette organisation puisse contrôler correctement une
quantité croissante de membres et des problématiques de plus en plus
complexes.
De son côté, comme s'il offrait un succulent gâteau tout en se
serrant la ceinture, Washington  vient d'annoncer qu'il a remis dans ses
cartons le plan de l'écu anti-missiles dont l'installation avait été
annoncée, à l'époque de l'administration de George W. Bush, en Pologne
et dans la République Tchèque.
Il semble que les dépenses qu'aurait entraîné son exécution 
représentaient une charge trop difficile à supporter. Le projet, qui
devait être exécuté entre 2007 et 2012, aurait provoqué une augmentation
de 50% du budget militaire nord-américain pour dix ans.
D'un autre côté,
la Maison Blanche assure que pour le moment, l'extension du programme
n'est pas vraiment indispensable pour garantir la sécurité nationale.
Cependant, les experts affirment qu'il s'agit de la simple suspension
d'un processus compliqué qui avait été dénoncé par Moscou comme un
risque grave pour sa propre intégrité, raison pour laquelle le Kremlin
avait annoncé qu'il allait installer des missiles atomiques à
Kaliningrad, aux portes de l'Europe.  
Même si il s'est montré tout d'abord satisfait de la décision nord-
américaine, il semble bien que Moscou ne confie pas vraiment en des
décisions qui ne sont ni fondamentales, ni définitives.


Título en español
Moscú confía, pero… comprueba

GENEVE: action anti-MCG vendredi matin



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From: "Les communistes" <info@lescommunistes.org>
Sent: Wednesday, September 30, 2009 5:27 PM
To: "médias" <medias@lescommunistes.org>
Cc:
Subject: action anti-MCG vendredi matin

Aux médias du canton,


Communiqué de presse du Parti communiste genevois

Invitation à assister à une action contre le MCG


MCG : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

Le député sortant et candidat au Grand Conseil sur la liste du MCG, Maurice Clairet, dont le parti n'arrête pas de stigmatiser les frontaliers et de dénoncer le trafic pendulaire dans la campagne genevoise, emploie en tant que patron d'une grande boulangerie à Bernex une écrasante majorité de frontaliers ! Au moment où des centaines d'affiches MCG au ton clairement xénophobe souillent les murs de notre canton, il nous apparaît important d'attirer l'attention des genevois sur les manipulations grossières de ce parti.
Ainsi, pour dénoncer l'hypocrisie et l'ignoble opportunisme de M. Clairet et du MCG, le Parti communiste genevois organisera :

VENDREDI 2 octobre
dès 11.15

un piquet citoyen devant la boulangerie de M. Clairet à Bernex (248 rue de Bernex).


Pour le Parti communiste genevois :
Laurent Tettamanti, coordinateur (022 794 81 56)
Fabrice Chaperon (076 420 30 54)

mardi 29 septembre 2009

solidaritéS: 3 Soirées-Débats à GE • MAR.29 SEPT. • VEN 2 et DIM 4 OCT.

 

Sent: Tuesday, September 29, 2009 9:40 AM
To:
Subject: solidaritéS: 3 Soirées-Débats à GE • MAR.29 SEPT. • VEN 2 et DIM 4 OCT.



MAR 29 SEPT•20h00: Face à la crise: quel bouclier social?
avec Jocelyne HALLER et plusieurs candidat-e-s de solidaritéS au Grand Conseil
Maison des Associations (15 Savoises)

VEN 2 OCT. • 20h00: Les luttes sociales et le Nouveau Parti Anticapitaliste en France
avec Myriam Martin, membre avec Olivier BESANCENOT de l'exécutif national du NPA
Université Ouvrière  (UOG • 3 Pl. des Grottes)

DIM 4 OCT • 19h00: Vivre autrement à Genève: quelles priorités?
avec Jean BATOU (solidaritéS)
Albane SCHLECHTEN (Union des espaces culturels autogérés / UECA)
Thibault SCHNEEBERGER (Réseau objection de croissance / ROC)
Café Gavroche (4 bis Bd James-Fazy)

Un nouvel article sur le blog www.jacques-lacaze.com: FASCISATION: IL EST PLUS QUE TEMPS DE REAGIR

 

Sent: Tuesday, September 29, 2009 10:57 AM
To:
Subject:  Un nouvel article sur le blog www.jacques-lacaze.com

 

FASCISATION: IL EST PLUS QUE TEMPS DE REAGIR

LA DERNIERE BARRIERE DE PROTECTION DES CITOYENS VA-T-ELLE DISPARAITRE? Le communiqué de presse, ci-dessous, d'un organisme OFFICIEL de la République Française fait froid dans le dos. Il éclaire d'un…

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LA DERNIERE BARRIERE DE PROTECTION
DES CITOYENS

VA-T-ELLE DISPARAITRE?

Le communiqué de presse, ci-dessous, d'un organisme OFFICIEL  de la République Française fait froid dans le dos.
Il éclaire d'un jour nouveau - et inquiétant - les décisions prises par le gouvernement actuel, et, en particulier de l'incroyable campagne sur une hypothétique pandémie de grippe  dite H1N1.
Le gouvernement a-t-il en projet d'utiliser cette "menace" pour avancer dans l'arbitraire et le contrôle du peuple, dans un processus qui porte désormais un nom: celui de fascisation rampante?
 Et les questions que beaucoup se pose, à savoir: la visite de Monsieur Sarkozy au Mexique qui lui a permis de signer un contrat pour la construction d'une usine de fabrication de vaccins contre la grippe ("y compris une éventuelle pandémie"), associée à une communication médiatique et gouvernementale d'une incohérence incroyable, mais visant à affoler la population, ne participent-elles pas à un projet liberticide majeur?
 


Communiqué de
la Commission nationale consultative des droits de l'homme


Sans avoir été consultée auparavant, la Commission nationale de déontologie de la sécurité a pris connaissance, à l'occasion de sa publication, du projet de loi organique relatif au Défenseur des droits. Elle en a délibéré lors de sa réunion en formation plénière du 21 septembre 2009.

Elle relève que ce texte prévoit sa suppression et le transfert de ses attributions à une seule personne, le Défenseur des droits, nommé en conseil des ministres, à charge pour lui, lorsqu'il intervient en matière de déontologie, de consulter un collège de trois personnalités désignées respectivement par le Président de la République, le Président de l'Assemblée nationale et le Président du Sénat, en raison de leur compétence dans le domaine de la sécurité.

Par comparaison avec son propre statut, la CNDS constate que cette nouvelle organisation :

1°) n'offre aucune des garanties d'indépendance qui tenaient au mode de désignation de ses membres comprenant quatre parlementaires, des représentants du conseil d'Etat, de la cour de cassation et de la cour des comptes et six personnalités qualifiées choisies par les autres membres (art. 11) ;

2°) fait disparaître le caractère multidisciplinaire de sa composition qui lui a permis de regrouper des juristes, avocats ou magistrats, un professeur de médcine légale, des universitaires et chercheurs, d'anciens responsables de la police, ayant tous eu à connaître dans l'exercice de leur profession des problèmes de déontologie des forces de sécurité, chacun apportant dans une approche différente ses connaissances et expériences propres (art. 11) ;

3°) ne comporte aucune précision sur la qualité des délégués du Défenseur des droits pouvant intervenir pour instruire et participer au règlement des affaires en matière de déontologie (art. 28) ;

4°) permet aux autorités mises en cause de s'opposer à la venue du Défenseur des droits dans les locaux dont ils sont responsables pour des motifs tenant « aux exigences de la défense nationale ou de la sécurité publique ou dans le cas de circonstances exceptionnelles », cette disposition ayant pour conséquence de donner désormais à ces autorités la faculté de se soustraire à tout contrôle qui pourrait les gêner (art. 18) ;

5°) interdit toute investigation sur des réclamations émanées de personnes ou associations témoins de manquements déontologiques ou de graves irrégularités en matière de reconduite à la frontière en raison de l'impossibilité d'avertir les victimes de ces faits et d'obtenir leur accord lorsque, entre-temps, elles auront été expulsées (art. 8) ;

6°) donne au Défenseur des droits le pouvoir arbitraire de rejeter toute requête sans avoir à motiver sa décision ni respecter le principe de la contradiction (art. 20) ;

7°) va diluer au sein d'une institution omnicompétente des attributions spécifiques nécessitant des connaissances et une approche particulières dans le domaine sensible des rapports entre les citoyens avec les forces de sécurité, les manquements commis dans l'usage de la force légale n'appelant ni « transaction » ni « règlement en équité » (art. 20 et 22).
 

La CNDS considère que sur chacun des points qui précèdent la réforme projetée marque
un recul des garanties démocratiques qu'elle offrait aux citoyens, pour le respect de leurs droits fondamentaux.

Elle rappelle enfin que son existence et la qualité de son action ont été saluées par les institutions internationales – notamment le commissaire européen aux droits de l'homme –, la Commission nationale consultative des droits de l'homme et les O.N.G.. attachées à la défense des droits de l'homme, dont plusieurs ont exprimé le souhait de voir ses compétences et ses moyens élargis.



Vous pouvez consulter le texte officiel:
Le site de la Commission Natioanle de Déontologie et de Sécurité

http://www.cnds.fr

 

lundi 28 septembre 2009

[romain : paix_socialisme_communisme] Fw: QQ remarques sur la décision de la cour constitutionnelle allemande relative au traité de LisbonneQu'en pensez vous,?

 
 
 
 
 
Sent: Saturday, July 25, 2009 10:50 PM
To: Romain
Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Fw: QQ remarques sur la décision de la cour constitutionnelle allemande relative au traité de LisbonneQu'en pensez vous,?

 

 
COMITE VALMY

Accueil du site > Euro-dictature > Quelques remarques sur la décision de la Cour constitutionnelle allemande (...)

Quelques remarques sur la décision de la Cour constitutionnelle allemande relative au traité de Lisbonne par Yvonne Bollmann, Germaniste, Maître de conférences à l'Université Paris XII

samedi 18 juillet 2009, par Comité Valmy


Notre Non du 29 mai 2005 aura compté pour rien. L'ersatz du traité constitutionnel a été ratifié par la France. Dans son rapport annuel, le Conseil d'Etat vient de révéler que le gouvernement lui a donné 24 heures, en janvier 2008, pour se prononcer sur le projet de loi autorisant la ratification du traité de Lisbonne. Il regrette que ce projet de loi ait dû être examiné « trop rapidement » .

C'est donc finalement la Cour constitutionnelle allemande, par sa décision du 30 juin 2009, qui a fait de l'Allemagne le maître du jeu, et l'a érigée en véritable Souverain, en celui qui fait la loi. Un coup de maître. Il a suffi que la Cour de Karlsruhe « ose dire ce que ni le Parlement français, ni le Conseil constitutionnel français n'ont osé dire » . Cela confère à l'Allemagne un prestige énorme, dont son droit va bénéficier à grande échelle, tant dans le domaine de la philosophie politique que de l'économie. Le droit allemand est d'ores et déjà un article immatériel exporté dans de nombreux pays (dont la Chine), où il crée un terrain propice pour d'autres produits, bien tangibles ceux-là, "made in Germany".


Pendant des années, et surtout après le discours de Joschka Fischer à l'université Humboldt (2000), l'Allemagne a été le principal agent d'une Europe fédérale pourvue d'un traité constitutionnel. Sous l'effet du coup de force d'allure démocratique qu'a été la réunification allemande, ses partenaires l'ont suivie sur ce chemin. Au détriment de leur intérêt national, ils ont investi dans ce projet une part importante de leur activité politique, pendant qu'elle suivait déjà son Sonderweg. Voici que l'Allemagne change de registre, et tout le monde s'apprête une fois encore à lui emboîter le pas.

Entre temps, elle a recueilli les fruits d'une construction européenne qu'elle a menée d'une poigne de fer. Au début de ce processus il y a eu la CECA, dont l'idée fut soufflée à Robert Schumann par Karl Arnold, ministre-président du land de Rhénanie du Nord-Westphalie. En 1953, Jean Monnet l'a salué lors d'une visite comme « le père de la CECA » . Pour Adenauer, la Montanunion était « un moyen de réintroduire son pays, plus ou moins sur une base d'égalité, dans la communauté des peuples », ce qui était conforme à « son souci des intérêts purement allemands » .

Au terme du long parcours qui a suivi, ce sont les pays de la Mitteleuropa qui sont tombés dans l'escarcelle allemande par l'élargissement de l'Union européenne. Après diverses péripéties, l'Allemagne s'est ainsi, en quelque sorte, approprié pacifiquement le delta du Danube , étape vitale sur la route vers l'Orient, un projet qui remontait aux années 1840 (voir l'ouvrage de Klaus Thörner, Der ganze Südosten ist unser Hinterland, Deutsche Südosteuropapläne von 1840 bis 1945, 2008). Quant aux Vertriebene, qui n'ont pas renoncé aux territoires à l'est de l'Oder-Neisse, ils ont obtenu, « en jouant l'Europe » , d'avoir le champ libre pour leur politique de reconquête. Dans la Charte qu'ils ont proclamée le 5 août 1950 - leur « loi fondamentale », et « la condition indispensable pour la mise en œuvre d'une Europe libre et unie » - ils avaient inscrit leur « droit à la Heimat », désormais à portée de main.

Il est imprudent, à ce jour, d'écrire que « la crainte française d'un Hinterland allemand, d'une arrière-cour en Europe de l'Est, s'est révélée infondée », du seul fait que « les pays de l'élargissement […] prennent leurs décisions politiques avec les Américains » . On sait par l'expérience de l'Histoire que l'Allemagne a de la suite dans les idées et de la constance dans l'action.


L'Allemagne n'a donc plus besoin de l'Union européenne, mais elle va continuer d'y exercer un rôle prééminent, renforcé par la décision souveraine de sa Cour constitutionnelle. Elle peut désormais jouer sur les deux tableaux, manier sans complexes la carotte et le bâton, tout en brandissant la bannière de la démocratie. Au Parlement européen, trois des sept groupes politiques sont dirigés par des Allemands, « qui prennent aussi la présidence d'un petit tiers des commissions parlementaires. Les chrétiens-démocrates allemands obtiennent, entre autres, celle de l'industrie, tandis qu'un social-démocrate présidera celle de l'environnement. Deux positions jugées stratégiques pour défendre les intérêts de l'industrie allemande » . C'est un Allemand qui en prendra la présidence à mi-parcours. L'Allemagne va sans doute aussi utiliser l'aura nouvelle qui entoure son droit pour faire avancer sa composante ethniciste.

Au moins de ce côté-là, on ne saurait dire que « l'Allemagne n'a aucune prétention à l'universalité » . Sous le patronage du Club de Budapest, le KDUN (Komitee für eine demokratische UNO) milite ainsi pour la création d'une Assemblée parlementaire auprès des Nations Unies. Il a présenté à ce sujet, en octobre 2004, sous la plume d'Andreas Bummel, une étude de stratégie pour « développer la démocratie internationale ». La traduction française du texte original en allemand a été assurée par deux personnes dont l'une est membre de la « Société pour les peuples menacés Suisse ». Il s'agit là d'une filiale de la Gesellschaft für bedrohte Völker (Göttingen), qui veut imposer à l'échelle mondiale des droits collectifs à caractère ethnique. Son président, Tilman Zülch, est l'un des 23 membres du conseil consultatif du KUDN, où il apparaît comme « spécialiste des droits de l'homme ». A ses côtés, on y trouve aussi les eurodéputés Jo Leinen, nouveau président de la Commission de l'Environnement au Parlement européen, et Elmar Brok, combattant de longue date pour un droit européen des Volksgruppen.

En affirmant qu'il n'y a pas de peuple européen, la Cour constitutionnelle laisse en un sens libre cours à des déclarations comme celles du professeur Dietrich Murswieck, mandataire du député CSU Peter Gauweiler dans le « procès Lisbonne ». Lors d'un entretien avec l'hebdomadaire Junge Freiheit, il a dit que « jusqu'à présent, les peuples des Etats membres sont les sujets dont émane, et d'eux seuls, la légitimation démocratique de l'UE ». La reconnaissance d'un « peuple européen » aurait représenté, selon lui, « un changement de paradigme – aux dépens de l'autodétermination nationale des peuples européens ». N'y a-t-il pas là une reconnaissance implicite de peuples « ethniques » ? Certains de leurs « représentants » sont d'ailleurs d'ores et déjà au Parlement européen, dans le Groupe Les Verts/ALE. Dans un registre analogue, le président de la CSU plaide pour « le principe Europe des régions, avec une responsabilité renforcée des parlements nationaux » . C'est bien la Bavière qui a fondé en 1977 le Verein zur Förderung der Volksgruppen- und Minderheitenrechte, devenu en 1991 l'Internationales Institut für Nationlitätenrecht und Regionalismus (Institut international pour les droits des groupes ethniques et pour le régionalisme).


Max Gallo s'est déclaré « très heureux que des juristes allemands enfin disent clairement et hautement qu'il n'y a pas de peuple européen, qu'il y a des peuples européens », ayant intérêt à coordonner leur action. Il a pensé ces dernières années « que le salut viendrait de l'Allemagne par rapport à la fin des rêves européens ». C'est « le retour de la nation allemande, et je dis tant mieux » . Dans cette manifestation de souveraineté, on peut aussi ne voir qu'une manoeuvre de l'Allemagne pour asseoir son hégémonie sur l'Europe

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dimanche 27 septembre 2009

site: Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres ...

 

From: michel
Sent: Saturday, September 26, 2009 8:52 AM
To: 
Subject: site

En Edito : Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres          

                                                 Debout !

Comme toujours dans l'histoire de notre pays, la bourgeoisie capitaliste se livre au sac de…. Lire la suite de l'édito sur www.unitecommuniste.org

                           

                                           _____________________

 

-Beaucoup d'autres articles référencés sur la page  de nos rubriques

 

  Bonne lecture a tous

 

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Edito

Contre la régression sociale, les attaques contre les services publics, les valeurs républicaines bafouées par le président et ses ministres           
                                      
Debout !

Comme toujours dans l'histoire de notre pays, la bourgeoisie capitaliste se livre au sac de grande ampleur contre tous les acquis sociaux gagnés lutte après lutte par les travailleurs.

Depuis 1936 leur volonté est la même : reprendre ce qu'ils ont été obligé de concéder !

Les attaques frontales et totales leur sont difficiles, ils agissent donc de façon masquées ! Après les privatisations de toutes sortes et la casse des entreprises ou les reculs des remboursements de la sécu, c'est maintenant au tour de la poste, menacée de pleine privatisation qui conduira tout droit vers des services réduits et plus chers, des zones urbaines et rurales verront disparaître la distribution individuelle du courrier celui-ci étant mis a disposition dans des boites à lettres collectives, des centaines de bureaux de poste vont donc disparaitre et les emplois aussi (Note de RoRo: La Poste: c' est la même chose en Belgique dans le cadre des privatisation décidées et imposées par l' Euro-dictature capitaliste et nos gouvernants nationaux deds partis "démocratiques", complices des multinationales et des banques).
La sécu, au nom du déficit crée par les laboratoires et l'Etat, va encore diminuer les remboursements au profit des mutuelles capitalistes ; sans parler des retraites dont les montants se réduisent tout en allongeant le nombre d'années de cotisation, victimes là aussi du chômage, de la dégradation organisée des conditions de travail et des cadeaux faits aux entreprises capitalistes.

Les valeurs Républicaines d'égalité de fraternité et de liberté
sont bafouées, la pression policière voulue par le pouvoir devient obsédante, s'exerçant notamment sur les salariés qui défendent leurs statuts, leurs salaires, leurs emplois, leurs opinions. La " chasse " aux syndicalistes est présente à grande échelle dans toutes les entreprises, le tissus social craque de plus en plus, poussant les plus pauvres, les chômeurs, les émigrés (ou leurs enfants) vers la marginalisation et les conditions de logement de plus en plus précaires voire même sur les trottoirs ou campements de fortune ; les classes moyennes se prolétarisent.

Pendant ce temps le président crache sur les lois élémentaires de la République, hier encore, concernant la présomption d'innocence 
dont tous les citoyens ont la garantie par nos Constitutions depuis 1945 ; dans le passé il faut remonter à l'époque de Daladier préparant Vichy pour constater de pareilles tentatives de fascisation de la vie publique.

Devant l'ensemble de ces préoccupations, les partis et les syndicats d'accompagnement nous montrent leur timidité complice pour organiser la contre-attaque nécessaire du peuple de France. 
Les partis se préparent avant toutes choses aux élections régionales et les syndicats tergiversent pour organiser globalement la réplique de grande ampleur.

Ouvriers, employés, techniciens, salariés, retraités, travailleurs, peuple de France, Debout, Poussez vos partis, organisations et syndicats à l'action

Que notre grande CGT redevienne le syndicat de luttes de classes, envoyons Thibault et ses amis réformistes, planter des choux !
Que Chérèque rejoigne sa centrale Européenne aux ordres des capitalistes !
Que le PCF et les partis de gauche élaborent enfin un programme populaire présenté à la population pour discussions et amendements
Cessons le travail, descendons dans les rues pour la défense des libertés et du niveau de vie, des protections sociales, et la défense des services publics

Muselons les dirigeants de la bourgeoisie, établissons la république sociale et démocratique


M.Mélinand (sept.-09)

[romain : paix_socialisme_communisme] Comuniqué de presse - De Morichar à Beillard

 

Sent: Saturday, September 26, 2009 11:17 PM
To: undisclosed recipients:
Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Comuniqué de presse - De Morichar à Beillard

Comuniqué de presse
Le 26 septembre 2009
 
 
De Morichar à Belliard
 
Suite à des pressions et des menaces policières (trois visites de la police de Saint-Gilles dont une descente particulièrement intimidante), la centaine d'adultes et la cinquantaine d'enfants mal logés ont quitté l'Espace Morichar les 19, 20 et 21 septembre.
 
Contrairement à ce qui a parfois été écrit, les occupants ne sont pas des sans-papiers mais des mal-logés. Ils sont cependant nombreux à avoir un statut provisoire (carte orange : séjour provisoire), et les menaces policières de ce week-end ("Si vous ne sortez pas, on vous renvoie dans votre pays!") ont eu l'effet de terreur escompté.
 
Lundi 21 au matin l'huissier de justice s'est présentée avec le commissaire et une vingtaine de policiers de Saint-Gilles pour expulser les derniers occupants de l'immeuble au profit de l'Al Sabah trust Company, (siège social, Bank of American Building, 50thy Street, Panama). Après avoir ainsi servi les intérêts de spéculateurs et jeté à la rue des dizaines de familles qui avaient enfin trouvé un lieu de vie décent, les policiers ont remis l'immeuble aux vigiles.
 
Les familles mal logées se sont installées au 45 rue Belliard, dans un vaste immeuble du quartier européen présentant les même qualités d'hygiène, de sécurité et de confort que l'immeuble de la place Morichar. Nous n'avons pas eu de difficultés à trouver un nouvel endroit en trois jours, car nombreux sont les immeubles vides à Bruxelles, cette ville où trouver un loyer abordable ou un logement social est devenu mission impossible.
 
Vendredi 25 septembre, nous avons reçu du même cabinet d'huissiers un avis d'expulsion prenant cours ce samedi minuit pour l'immeuble de la rue Belliard. De prétendues raisons "urgentes" nécessiteraient de remettre à la rue 150 personnes. Cela nous a d'autant plus surpris que nous avions pu obtenir un rendez-vous avec le secrétaire d'Etat au logement Christos DOULKERIDIS et les représentants du propriétaire le mardi 29/09 à 14H30 dans l'espoir de signer une convention d'occupation provisoire...
 
Nous qui occupons la rue Belliard, nous invitons les sympathisants, les journalistes, les militants du droit au logement à ne pas attendre la prochaine opération policière pour nous rendre visite. Nous croyons que notre expérience mérite un moment d'attention. Nous venons du Maroc, de Slovaquie, d'Iran, d'Algérie, du Cameroun, du Niger, de Russie,... mais aussi de Belgique et nous construisons ensemble, contre la misère et la précarité, un espace de vie digne.
 
Merci de vous annoncer en téléphonant au 0477/24.57.97 ou au 0485/97/40.41
 
Les Occupants.

 
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jeudi 24 septembre 2009

Vingt ans après la chute du Mur

Bulletin n° 39 de l'INEM
 

Sent: Wednesday, September 23, 2009 8:01 PM
Subject: Vingt ans après la chute du Mur

Cliquez ici si le Bulletin est mal représenté
Édition n° 39 du 24 septembre 2009

Dans ce Bulletin…

Vient de paraître : Études marxistes n° 87

Couverture du n° 87 des EM

Vingt ans après la chute du mur de Berlin, l'Union européenne s'apprête à de multiples festivités commémorant l'événement. Mais qu'y a-t-il à fêter pour la population de l'est de l'Europe ? Le taux de croissance exceptionnel dont ces pays ont bénéficié pendant quelques années était essentiellement basé sur un endettement sans précédent auprès des banques occidentales et s'est effondré avec la crise. Partout, le chômage croît. Des coupes sombres dans les budgets sociaux augmentent les inégalités et provoquent des manifestations.

Angela Barthes démontre comment les pays d'Europe postsocialiste sont également soumis, depuis la chute du mur, à une perte de population, pouvant atteindre près de 20 % dans certains pays.

Ce numéro comporte en plus des contributions de A. Mironov et V. Fedorov sur les conséquences désastreuses de la restauration du capitalisme en Russie et en Lettonie pour les jeunes et l'emploi.

La situation déplorable des pays de l'Europe de l'Est doit être imputée en premier lieu au renversement du socialisme dans la région. Même parmi les communistes, on entend plusieurs explications de ce renversement. Les thèses du 18e congrès du Parti communiste de Grèce sur le socialisme analysent comment au fil des années l'abandon des principes socialistes dans l'économie a pu préparer la naissance d'une couche privilégiée. Pour les communistes grecs, cette évaluation critique ne remet nullement en question la nécessité et l'actualité du socialisme. Au contraire.

La crise aidant, le moment est venu de relancer la discussion sur toutes les leçons à tirer des expériences passées, mais aussi actuelles. Pol De Vos livre ainsi une analyse du processus de transformation au Venezuela et de ce que Hugo Chávez appelle « le socialisme du 21e siècle ». (lire plus et commander ce numéro)

Pour cause de succès: reprise de la promenade à travers Bruxelles révolutionnaire

Révolution 1830

Attention : pour cette promenade du dimanche 4 octobre prochain, l'inscription préalable (voir lien plus bas) est obligatoire ! Encore quelques places disponibles.

Départ à 14 heures, place de la Monnaie, 1000 Bruxelles.

Tout est fait pour faire oublier que la révolution de 1830 était en premier lieu une insurrection populaire. Le 21 juillet, fête nationale, ce n'est pas la révolution qui est commémorée, mais bien la récupération de celle-ci par la bourgeoisie, la noblesse et l'Eglise ! … (Lire plus et inscription)

Qui sommes-nous ?

L'Institut d'études marxistes s'est fixé comme objectifs

  • de populariser la vie et l'œuvre de Karl Marx, ainsi que celle des grands auteurs marxistes
  • de faire connaître les réalisations du mouvement communiste international et des États socialistes

L'Institut d'études marxistes

  • publie la revue trimestrielle Études marxistes, qui s'efforce d'analyser le monde contemporain au moyen de la méthode marxiste
  • possède une bibliothèque de plus de 7000 ouvrages et documents (y compris des documents audiovisuels) ainsi qu'une collection unique de revues et de journaux communistes et révolutionnaires du monde entier
  • organise des cours sur le marxisme, allant de cours d'introduction à l'étude des grands classiques à l'application de la méthode marxiste aux problèmes contemporains
  • dispose d'un site web, http://www.marx.be, qui publie Études marxistes en ligne, ainsi que d'autres documents marxistes, et qui reflète tous les aspects de l'activité de l'Institut.

Nouvelle adresse ?

Vous avez acquis une nouvelle adresse e-mail et vous voulez qu'elle remplace votre ancienne adresse dans notre liste d'adresses ? Vous pouvez facilement arranger cela vous-même. Désinscrivez-vous d'abord en suivant la méthode décrite ci-dessous, puis réinscrivez-vous avec votre nouvelle adresse et c'est fait.

Vous préférez ne pas suivre cette méthode ou vous n'avez pas réussi ? Communiquez-nous votre nouvelle adresse par e-mail, mais n'oubliez pas de mentionner votre ancienne adresse, surtout si la nouvelle ne ressemble pas à l'ancienne. Sinon, il nous pourrait être impossible de vous repérer dans notre liste…

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Au plaisir de vous acceuillir sur notre site.


GE • SAM 26.9.09 • Séminaire des forces anticapitalistes

 

Sent: Wednesday, September 23, 2009 11:05 AM
Subject: GE • SAM 26.9.09 • Séminaire des forces anticapitalistes

solidaritéS • GENÈVE
www.solidarites-ge.ch


Vous invite à participer...

Samedi 26 septembre de 9h30 à 17h000 à un...
«Séminaire des  forces anticapitalistes»
à la Maison des associations (15 Savoises) • Salle Gandhi
sur le thème
«Crise du capitalisme: analyses, perspectives, alternatives»
Regards sur la crise du capitalisme:
Analyses, perspectives et alternatives


1. Pourquoi un séminaire des forces anticapitalistes?
En janvier 2009 la manifestation anti-WEF à Genève a révélé deux choses:
a) lorsqu'il s'agit de remettre en cause le capitalisme lui-même les forces réformistes se désistent le plus souvent. On ne peut donc pas compter sur elles pour des mobilisations à contenu anticapitaliste ;
b) les forces anticapitalistes sont aujourd'hui très fragmentées, cela les affaiblit fortement tant sur le plan de la force de conviction des contenus mis en avant, que sur le plan des mobilisations pratiques.
Le séminaire doit à la fois servir d'amorce à une discussion entre les forces anticapitalistes et à une clarification des divergences et des convergences au sein et entre ces forces. L'accent doit être mis sur les questions de contenu : notre représentation d'une société non capitaliste. Les différences de points de vue doivent servir le débat, et non le briser.
2. But du séminaire
Notre but est la création d'un cadre ouvert de discussion des forces se réclamant de l'anticapitalisme, quelles que soient leurs histoires. Il est aussi d'avancer dans la définition d'un projet d'alternative au capitalisme. Il part de la conviction qu'être anticapitaliste est une absolue nécessité si l'on veut gagner de la crédibilité, mais qu'au-delà il faut aussi porter notre propre projet de société, dire quels en seront les mécanismes de base, donc dépasser le stade de la revendication pour aller vers l'opposition de deux systèmes, celui en place face à celui que nous préconisons et que nous porterons. Le but du séminaire est donc non seulement de nous situer dans la vieille société, il est aussi d'ouvrir la discussion sur les alternatives au capitalisme.
3. Méthode
Nous admettons que le débat est notre arme essentielle, il fait ressortir les différences et c'est par elles que nous avancerons. Nous acceptons par conséquent que le débat peut parfois être contradictoire, mais nous disons aussi qu'une réelle maîtrise des contradictions qui apparaîtront sera loin de nous diviser, mais qu'elle nous rapprochera. Une des conditions pour cela est que chacun.E respecte les idées exprimées.
Nous partons aussi de l'idée qu'un accord sur l'anticapitalisme peut rapidement venir, mais qu'un accord sur la société que nous voulons et porterons est bien plus difficile. En effet, pour cela il faudra admettre et digérer sa propre Histoire, donc la critiquer. Nous essayerons de marcher sur nos deux pieds : d'un côté la théorie est indispensable, elle nous fournira nos hypothèses de travail, de l'autre l'ancrage pratique dans les mouvements est tout aussi indispensable, il nous servira de repère confirmant ou infirmant nos hypothèses.

Programme de la journée

Il comportera trois parties :
a) La matinée dès 9h30
Les organisations qui le désirent s'exprimeront sur la crise actuelle du capitalisme. Est-elle comme toutes les autres crises, socialement douloureuses mais renforçant finalement le capitalisme ? Ou est-elle plus que les autres, et en quoi ? Que signifie-t-elle pour leur stratégie, remet-elle en cause certaines certitudes ou pratiques des forces anticapitalistes ?
S'exprimeront (sans ordre de préséance) : MPS, solidaritéS, le Parti du Travail, Gauche anticapitaliste, Action autonome, Ecologie radicale, Attac, Forum Social Lémanique...

b) Dès 13h30

Echange d'idées et discussions sur les alternatives au capitalisme.
Ce débat sera ouvert à tous et toutes les participant.e.s. L'Organisation socialiste libertaire, Action autonome, Ecologie radicale, les syndicats et le Nouveau Parti anticapitaliste ont déjà annoncés des interventions...


c) Dès 16h30
Les mobilisations à venir : OMC, WEF, etc.


samedi 19 septembre 2009

L'inauguration de la nouvelle gare des Guillemins à LIEGE ...

L'inauguration de la nouvelle gare des Guillemins à LIEGE ...
 
Certes, c' est un monument architectural, une oeuvre d' art, qui n' est pas sans défauts !
 
Mais les médias du capitalisme, en admiration, en profitent pour nous vanter les mérites et les beautés de la société capitaliste du tape-à-l'oeil. Ils ont un nouveau scoop ... 
 
C' est oublier un peu vite que la Belgique a été menée au bord de la faillite par cette même société et ses honnêtes gérants, ses aparatchiks, de "gauche" comme de droite...
 
Le TGV, Bruxelles-Paris en 2 heures, c' est pas pour moi. C' est avant tout pour les riches, les hommes d' affaires...
 
Un  chômeur, un minimexé, un pensionné à 1.000 euros par mois (après 45 ans de travail) a déjà bien du mal à pouvoir se taper Charleroi-Bruxelles-Oostende une fois par an. En voiture a/r: quelque 50 euros, rien que pour le carburant.
 
Ce Tgv, c' est pour les riches, ceux qui peuvent payer, voyager, que l'Etat et la Sncb investissent des dizaines de milliards d' euros... On fera les comptes dans 10, 15, 20 ans... On verra comment ceux qui nous promettent la lune aujourd'hui auront trouvé les moyens de faire face aux dépenses et chez qui, sur le dos de qui, ils auront une fois de plus, trouvé les moyens financiers. A commencer par la Ville de Liège ...
 
C' est mon avis. Je ne crois pas me tromper ... Dans ce cas, on pardonnera mon jugement...
 
RoRo
a/conseiller communal
Courcelles

mercredi 16 septembre 2009

[listalr] Invitation à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août

 

Sent: Wednesday, September 16, 2009 12:48 PM
Subject: [listalr] Invitation à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août


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From: histoire [mailto:histoire@mcicom.net]
Sent: Tuesday, September 15, 2009 4:41 PM
To: listalr@communweb.com
Subject: [listalr] invitation à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août

 

Liste de diffusion de Annie Lacroix-Riz

www.historiographie.info

 

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Chacun de nous est maintenant invité à signer l'appel contre la falsification anti-communiste du 23 août sur
http://23august.kke.gr 
Je reproduis ci-dessous en français l'appel

Jean Pestieau

Ripostons massivement et résolument à l'anticommunisme et à toutes ses expressions

Nous, cadres, membres, amis et sympathisants des Partis communistes et ouvriers, élus aux parlements, au niveau local, à la direction des syndicats et des organisations de masse, dénonçons la tentative d'assimiler le communisme avec le nazisme au travers des efforts visant à proclamer le 23 août de "jour de la mémoire de leurs victimes".

Cet effort de falsifier l'histoire a le soutien de forces politiques au service du capital. Il s'est manifesté de diverses façons au cours des dernières années, notamment par des résolutions de divers organes inter-étatiques et d' institutions parlementaires.

Ayant d'abord rebaptisé le 9 mai, jour de la victoire des peuples [1945] en "journée de l'Europe" dans le but d'effacer la photo du drapeau rouge flottant sur le Reichstag, ils poursuivent aujourd'hui leur plan d'identifier la victime avec le bourreau en se référant à la journée [23 août 1939] où le pacte Molotov-Ribbentrop de non agression a été signé.

Ces forces visent à dissimuler le caractère de classe impérialiste du nazisme-fascisme

Elles veulent cacher le fait que la victoire des peuples porte le sceau indélébile de l'Union soviétique, de l'Armée rouge et des mouvements de partisans, dans lesquels les communistes ont été à l'avant-garde dans le monde entier.
Ces forces veulent blanchir l'impérialisme, qui a engendré le fascisme. Aujourd'hui, 20 ans après la contre-révolution, elles veulent blanchir les massacres impunis que ce même impérialisme perpètre le monde.
De cette façon, elles aspirent à atteindre politiquement et idéologiquement tous ceux qui continuent à lutter contre l'exploitation et l'injustice de classe, qui résistent à l'attaque barbare contre tout droit social, syndical et démocratique du peuple projeté dans les conditions de crise économique mondiale du capitalisme .

Travailleurs, paysans, femmes, jeunes, retraités, anciens combattants et combattants de la lutte antifasciste,

* Mobilisez-vous vigoureusement contre la ré-écriture et la falsification de l'histoire
* Donnez une réponse résolue afin d'annuler toute tentative

d'organiser des manifestations anti-communistes, le 23 août.
* Faites connaître la vérité historique
* Défendez la lutte intransigeante contre l'impérialisme, pour une autre société, sans guerre, sans chômage, sans pauvreté et exploitation. Pour le socialisme

 

 

lundi 14 septembre 2009

[romain : paix_socialisme_communisme] Les Irlandais priés de bien voter cette fois-ci. La dérive totalitaire européiste en action. - Le Vrai Débat

ou la "démocratie" capitaliste imposée à tous les peuples de l' Euro-dictature  des multinationales ...: plus de 500 millions d' âmes ! Avec la complicité de la fausse "gauche" opportuniste" et intégrée et des syndicats réformistes ...
RoRo

From: nicolas
Sent: Saturday, September 12, 2009 9:44 PM
To: Romain
Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Les Irlandais priés de bien voter cette fois-ci. La dérive totalitaire européiste en action. - Le Vrai Débat

 




On en parle très peu en France, et pourtant dans moins d'un mois se jouera en Irlande un événement capital pour l'avenir de l'Union européenne.
Le 2 octobre en effet, les électeurs irlandais sont appelés à revoter sur le Traité de Lisbonne, dans une version en tout point identique à celle qu'ils avaient rejetée par 53% des voix en juin 2008.

Deux mots résument la campagne qui débute : dérive totalitaire. Il ne faut pas craindre en effet d'employer cette expression, la plus appropriée pour décrire le climat dans lequel les Irlandais vivent les semaines qui les séparent du scrutin.
L'existence d'un deuxième référendum serait déjà en soi suffisante pour pouvoir parler de dérive totalitaire. Lorsqu'on refait voter un peuple sur un texte à 100% identique à celui sur lequel il vient de s'exprimer, on n'est clairement plus en démocratie. Les partisans les plus zélés, ou les plus aveugles, de l'Europe de Bruxelles pourront toujours essayer de trouver une justification plus ou moins tirée par les cheveux. Du point de vue des principes démocratiques, il ne peut pas y en avoir. S'ils tolèrent ce genre de procédés, ils ne sont pas démocrates. C'est leur droit, mais ils doivent en être conscients.

La dérive totalitaire concerne également la campagne référendaire. Seul parmi les 27 de l'Union européenne à avoir eu la possibilité de s'exprimer par référendum, le peuple irlandais est soumis à une terrible pression des milieux eurocrates politiques, administratifs et financiers.
Pour "éclairer" les électeurs, la commission européenne vient  par exemple de publier un livret http://ec.europa.eu/publications/booklets/others/84/en.pdf censé résumer en quelques pages le Traité de Lisbonne. D'après la commission, les électeurs irlandais pourront suite à la lecture de ce guide "voter en conscience et en toute connaissance de cause". Dès les premières lignes, le ton est donné : "L'objectif du Traité de Lisbonne est de rendre l'UE plus démocratique, plus efficace et plus transparente. Il donne aux citoyens et aux parlements plus de poids dans la conduite des politiques européennes, et donne à l'Europe plus de poids dans le monde, tout en protégeant les intérêts nationaux". Bref, un Traité idéal pour une Europe idéale...Citoyens irlandais, radio Bruxelles vous informe !

Au niveau national, la quasi totalité des partis irlandais soutiennent le OUI, du Fianna Fail parti du premier ministre Brian Cowen au Fine Gael, principal parti d'opposition.
Craignant que l'impopularité du premier ministre ne rejaillisse sur le scrutin (selon les derniers sondages, 85% des Irlandais sont mécontents de sa politique), le Fine Gael vient d'appeler les électeurs à "attendre les prochaines élections pour sanctionner le premier ministre. Pour le moment il faut dire oui à l'Europe". C'est beau comme du François Hollande...
On remarque que pour tromper l'électeur, on utilise toujours ce genre de raisonnement consistant à dissocier politique nationale et politique européenne, alors que cette dernière conditionne la majeure partie des politiques économiques des gouvernements (et c'est précisément sur ce point que les Irlandais sont mécontents de Cowen), et que 80% des lois nationales sont directement issues de Bruxelles dans la plupart des Etats membres.
Il est donc parfaitement cohérent, et lucide, de voter contre l'Europe de Bruxelles lorsqu'on est mécontent de son gouvernement. Parler de confusion des scrutins est une escroquerie, une manipulation destinée à contenir la colère légitime des peuples.

Il va de soi que dans les médias, le camp du OUI est surreprésenté, bénéficiant de l'engagement des deux partis les plus importants du pays. Ceux qui se souviennent du déluge de propagande qui s'abattit sur la France lors la campagne référendaire sur la Constitution européenne en 2005 comprennent ce que vivent grosso modo en ce moment les Irlandais, d'une façon sans doute encore aggravée, en raison des pressions eurocrates plus fortes que jamais.

Autre dérive totalitaire, les arguments de campagne. Du côté du OUI, il n'y en a pas. Le seul ressort de la campagne est la peur. Tous les arguments, même les plus ridicules, sont bons à prendre pour terroriser l'électeur : aggravation de la crise en cas de victoire du NON, expulsion de l'UE, fuite des investisseurs étrangers.
Cette stratégie de la terreur, utilisée par l'ensemble des partis du OUI, est complétée par le mensonge selon lequel l'Europe protégerait les pays membres de la crise. Un simple coup d'oeil sur les chiffres de la récession http://dechiffrages.blog.lemonde.fr/2009/03/01/ la-crise-est-plus-profonde-en-europe-qu%e2%80%99aux-etats-unis/  
dans le monde montre au contraire que les premiers pays touchés par la récession furent les pays européens, qu'ils connaissent une dépression plus forte qu'ailleurs, et qu'ils sortent de 15 ans de croissance molle. C'est encore plus vrai au sein de la zone euro.
De toute façon, comment une Europe qui a fait du libéralisme mondialisé, de la déréglementation et du libre-échange sa seule devise pourrait-elle avoir un rôle protecteur dans une crise qui s'explique précisément par la faillite de ces principes ? Un peu de logique s'impose pour comprendre la réalité des chiffres, et déminer les mensonges du camp des eurobéats.

Enfin,
les grands patrons irlandaisl http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100008040/more-evidence-of-the-brussels-racket-as-irish-euro-enthusiasts-turn-to-business-leaders/  se sont eux-aussi lancés dans la campagne du OUI. En tête, le PDG de Ryan Air, Michel O'Leary. Il faut dire qu'il attend le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'un concurrent, Aer Lingus... Autre patron engagé, Jim O'Hara, le PDG d'Intel, qui vient de faire appel d'une amende de plusieurs millions d'euros prononcée par la commission contre sa société. Echange de bons procédés entre "Européens convaincus" dira-t-on...

Référendum après référendum (ils sont d'ailleurs de plus en plus rares), les pressions exercées sur les peuples européens pour qu'ils "votent bien" (et si possible du premier coup !) se renforcent, jusqu'à verser dans la dérive totalitaire pure et simple. Très clairement, quand il s'agit d'Europe, et parce qu'on touche à l'évidence au coeur de la machine, là où se prennent les vraies décisions, les peuples ne sont pas les bienvenus.

L'Irlande n'est pas la seule concernée. Le phénomène est général. Il est particulièrement fort en France où des parlementaires de tous bords, http://www.levraidebat.com/article-16580423-6.html UMP PS MODEM, ont voté en catimini en 2008 le Traité de Lisbonne, copie-conforme de la Constitution européenne que nous avions rejetée par référendum en mai 2005.
La propagande depuis n'a jamais cessé. Pour vous en convaincre, visionnez ce court reportage http://www.france24.com/fr/20090904-traite-lisbonne-oui-referendum-sondage-irlande-union-europeenne-indecis diffusé par la chaîne France24 au sujet de la campagne irlandaise. La première phrase du journaliste donne le ton : "Les Irlandais ont voté NON l'an dernier, surtout parce qu'ils ne comprenaient pas le Traité de Lisbonne"...Ce journaliste, comme tant d'autres en France, est en mission : reprendre la communication européiste et faire croire au bon peuple que tout est affaire de pédagogie, que le NON ne peut s'expliquer que par un défaut de compréhension, et certainement pas par un rejet politique.  

Les démocrates dignes de ce nom doivent réagir, et vite.
Pour l'heure, nous ne pouvons que souhaiter une victoire du NON en Irlande, le 2 octobre prochain. Ce NON sonnerait comme un désaveu terrible pour l'ensemble des "élites eurocrates". Les derniers sondages montraient une avance assez confortable du OUI, mais en reflux. Espérons que les partisans du NON sauront amplifier le mouvement.

Dimanche 6 septembre 2009
http://www.levraidebat.com/article-35740167.html

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