Qu'en est-il donc des garanties de sécurité 100% de conception capitaliste occidentale ???
Un Tchernobyl en Belgique et/ou à la frontière française et il faudra évacuer toute la population dans un rayon de 500 kms à la ronde, jusqu'à Dusseldorf, le nord de la France, le Luxembourg, les Pays-Bas, le sud de l' Angleterre.
Nous n' aurons même plus de problèmes Flamands-Wallons: la Belgique ne sera plus qu'un désert ... !
RoRo
-------- Message original --------
Sujet : | Le nucléaire? propre (ouais), pas cher (ouais), ET PAS SUR (ça, c'est certain !) |
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Date : | Fri, 29 Aug 2008 11:02:56 EDT |
De : | Xarlo@aol.com |
Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 830 associations
Communiqué de presse du 29 août 2008
Contact presse : 06.64.100.333
http://www.sortirdunucleaire.org/
Belgique, Espagne, Allemagne, Autriche, Slovénie, Ukraine, France…
L'Europe frappée par des accidents nucléaires
Interdiction aujourd’hui de consommer des légumes et du lait à Fleurus en Belgique !
La France, qui a passé un été très radioactif avec de multiples évènements en particulier au Tricastin, est loin d'être le seul pays d'Europe frappé par les incidents et accidents nucléaires. Des scandales de grande ampleur font même la UNE actuellement dans certains pays.
En Belgique, un accident de niveau 3 s'est produit le 24 août à l'Institut des radioéléments (IRE) de Fleurus. Comme d'habitude dès qu'il s'agit de nucléaire, l'alerte a été donnée en retard, les conséquences ont d'abord été minimisées par l'Agence fédérale belge de Contrôle nucléaire (AFCN), mais on apprend aujourd'hui que la fuite radioactive est plus importante qu'annoncé au départ et que la consommation des légumes du jardin et du lait est maintenant interdite, en attendant peut-être de nouvelles révélations...
En Espagne, un important incendie s'est déclaré, le 24 août aussi, à la centrale nucléaire Vandellos II (Catalogne) qui est arrêtée depuis. Une trentaine d'incidents ont eu lieu depuis le début de l'année dans les centrales espagnoles. En avril dernier, on a appris qu'une fuite radioactive avait eu lieu 6 mois plus tôt (!) à la centrale d’Asco I (Catalogne) dont l'exploitant encourt de lourdes sanctions.
En Allemagne à Asse, la population a appris fin juin qu'une contamination de grande ampleur était en cours depuis des années dans une mine de sel ou 126 000 fûts de déchets nucléaires ont été stockés. La mine était présentée comme "stable depuis 70 millions d'années" et "quasi-imperméable", mais les déchets baignent aujourd'hui dans un véritable lac souterrain dont la contamination menace de grandes nappes phréatiques.
En Autriche, un incident s'est produit dans la nuit du 2 au 3 août dans les laboratoires de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), à 35 km de Vienne. Ce n'est que par chance qu'un accident grave n'a pas eu lieu.
En Ukraine, une fuite d'eau radioactive a provoqué l'arrêt d'un réacteur à la centrale nucléaire de Rivné (ouest de l'Ukraine) le 10 juin.
En Slovénie, une fuite radioactive le 4 juin à la centrale nucléaire de Krsko a entraîné une alerte européenne (les 26 autres pays de l'Union ont été contactés en urgence) avant que la gravité de la situation ne soit minimisée, sans que personne ne sache vraiment ce qui s'était passé.
La France, enfin, a été frappée cet été par de multiples incidents à la Socatri-Areva (Bollène, Vaucluse ; grave fuite d'uranium le 7 juillet), à la FBFC-Areva (Romans-sur-Isère, Drôme ; découverte le 18 juillet de contaminations par une canalisation rompue depuis des années), à la Centrale nucléaire EDF du Tricastin (Drôme ; 100 salariés contaminés le 23 juillet) et à celle de St-Alban (Isère ; 15 salariés contaminés le 20 juillet), à nouveau à la Socatri-Areva (aveu le 6 août de rejets illégaux depuis des semaines de carbone 14 radioactif) et à la Comurhex-Areva (Pierrelatte, Drôme ; aveu le 21 août de contaminations par une canalisation rompue elle aussi depuis des années).
Le Réseau "Sortir du nucléaire " appelle l'opinion publique internationale à prendre conscience de la gravité des contaminations déjà occasionnées par l'industrie nucléaire, et de la possible imminence d'une véritable catastrophe nucléaire dont les conséquences seraient incommensurables. Il ne faut pas faire confiance aux diverses "autorités de sûreté", qui contribuent à cacher la vérité, et il faut fermer les installations nucléaires avant que le pire ne se produise.
Contact presse : 06 64 100 333.
Communiqué de presse du 29 août 2008
Contact presse : 06.64.100.333
http://www.sortirdunucleaire.org/
Belgique, Espagne, Allemagne, Autriche, Slovénie, Ukraine, France…
L'Europe frappée par des accidents nucléaires
Interdiction aujourd’hui de consommer des légumes et du lait à Fleurus en Belgique !
La France, qui a passé un été très radioactif avec de multiples évènements en particulier au Tricastin, est loin d'être le seul pays d'Europe frappé par les incidents et accidents nucléaires. Des scandales de grande ampleur font même la UNE actuellement dans certains pays.
En Belgique, un accident de niveau 3 s'est produit le 24 août à l'Institut des radioéléments (IRE) de Fleurus. Comme d'habitude dès qu'il s'agit de nucléaire, l'alerte a été donnée en retard, les conséquences ont d'abord été minimisées par l'Agence fédérale belge de Contrôle nucléaire (AFCN), mais on apprend aujourd'hui que la fuite radioactive est plus importante qu'annoncé au départ et que la consommation des légumes du jardin et du lait est maintenant interdite, en attendant peut-être de nouvelles révélations...
En Espagne, un important incendie s'est déclaré, le 24 août aussi, à la centrale nucléaire Vandellos II (Catalogne) qui est arrêtée depuis. Une trentaine d'incidents ont eu lieu depuis le début de l'année dans les centrales espagnoles. En avril dernier, on a appris qu'une fuite radioactive avait eu lieu 6 mois plus tôt (!) à la centrale d’Asco I (Catalogne) dont l'exploitant encourt de lourdes sanctions.
En Allemagne à Asse, la population a appris fin juin qu'une contamination de grande ampleur était en cours depuis des années dans une mine de sel ou 126 000 fûts de déchets nucléaires ont été stockés. La mine était présentée comme "stable depuis 70 millions d'années" et "quasi-imperméable", mais les déchets baignent aujourd'hui dans un véritable lac souterrain dont la contamination menace de grandes nappes phréatiques.
En Autriche, un incident s'est produit dans la nuit du 2 au 3 août dans les laboratoires de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), à 35 km de Vienne. Ce n'est que par chance qu'un accident grave n'a pas eu lieu.
En Ukraine, une fuite d'eau radioactive a provoqué l'arrêt d'un réacteur à la centrale nucléaire de Rivné (ouest de l'Ukraine) le 10 juin.
En Slovénie, une fuite radioactive le 4 juin à la centrale nucléaire de Krsko a entraîné une alerte européenne (les 26 autres pays de l'Union ont été contactés en urgence) avant que la gravité de la situation ne soit minimisée, sans que personne ne sache vraiment ce qui s'était passé.
La France, enfin, a été frappée cet été par de multiples incidents à la Socatri-Areva (Bollène, Vaucluse ; grave fuite d'uranium le 7 juillet), à la FBFC-Areva (Romans-sur-Isère, Drôme ; découverte le 18 juillet de contaminations par une canalisation rompue depuis des années), à la Centrale nucléaire EDF du Tricastin (Drôme ; 100 salariés contaminés le 23 juillet) et à celle de St-Alban (Isère ; 15 salariés contaminés le 20 juillet), à nouveau à la Socatri-Areva (aveu le 6 août de rejets illégaux depuis des semaines de carbone 14 radioactif) et à la Comurhex-Areva (Pierrelatte, Drôme ; aveu le 21 août de contaminations par une canalisation rompue elle aussi depuis des années).
Le Réseau "Sortir du nucléaire " appelle l'opinion publique internationale à prendre conscience de la gravité des contaminations déjà occasionnées par l'industrie nucléaire, et de la possible imminence d'une véritable catastrophe nucléaire dont les conséquences seraient incommensurables. Il ne faut pas faire confiance aux diverses "autorités de sûreté", qui contribuent à cacher la vérité, et il faut fermer les installations nucléaires avant que le pire ne se produise.
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10 NOVEMBRE: GREVE GENERALE en SARKOLAND (à l'appel du Conseil National de la Résistance)
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