vendredi 2 octobre 2009

Vote, referendum: L'arnaque criminelle de l'UE (merci Michel)

Nous avons affaire à des inciviques qui vendent l'indépendance nationale et la souveraineté nationale de leur pays au nouvel empire capitaliste qui incorpore les peuples de force et dissout les nations.
On devrait les condamner pour trahison ... tous ces "démocrates", amoureux d'une seule liberté, celle de l' exploitation, du pillage, des super-profits.
10 millions de Belges, quelque 3 millions de Wallons, dans un empire sans limites de 500 millions d'âmes bernées car incorporées de force et/ou trompées. Autant dire que nous n' avons plus rien à dire. Les autres décident à notre place et sans contrôle.
Les Irlandais avaient déjà voté NON. On les fait (fera) revoter jusqu' au moment où ils diront oui. C' est cela leur soi-disant "Démocratie" à la noix de coco...
Y aura-t-il un jour un referendum organisé si l'un ou l'autre peuple veut sortir du machin fascisant entre les mains de la droite ultra-libérale et des multinationale ???????????????, à laquelle collaborent également la fausse gauche et les syndicats collaborationnistes.  
RoRo
 
 
 
 

Sent: Thursday, October 01, 2009 5:37 PM
Subject: Vote, referendum: L'arnaque criminelle de l'UE (merci Michel)

 
L'Irlande re-vote le 2 octobre

Menace, chantage, corruption, et bien sûr ... mensonges sur tout …

sont les mamelles de l'union européenne …

« La plus grande démocratie du monde libre » … pour les partisans de l'UE.


« D'abord nous décidons quelque chose, ensuite on le lance publiquement. Ensuite nous attendons un peu et nous regardons comment ça réagit.

Si cela ne fait pas scandale ou ne provoque pas d'émeutes, parce que la plupart des gens ne se sont même pas rendus compte de ce qui a été décidé, nous continuons, pas à pas, jusqu'à ce qu'aucun retour ne soit possible... ».

 

Premier ministre, ministre des finances luxembourgeois, gouverneur de la Banque mondiale de 1989 à 1995 ancien gouverneur de la BERD et du FMI président actuel de l'Eurogroupe. Jean-Claude Juncker dans une interview Der Spiegel n°52/1999 p136 (envoyé par Miss Moon)


Charlie Mc Creevy, commissaire européen de l'Irlande a reconnu que si le reste de l'Europe avait la possibilité de voter par référendum, 95% le rejetteraient ! ! !


Les partisans du « oui » dépensent probablement dix fois plus que ceux du « non » dans cette campagne. Les règles de diffusion ont été changées afin que les débats radio ne donnent pas le même temps aux deux côtés, et la droite obtient donc la plupart du temps pour elle. 90% des journaux soutiennent le « oui »...


Ne pas oublier, le vote irlandais n'effacera pas :

1) Les crimes de forfaitures : France et Pays-Bas, les peuples souverains ont voté NON. En droit, les parlementaires ne peuvent pas violer les peuples.

2) On ne peut voter d'avance sur un texte qui n'existe pas - argument de l'UMP et des partisans du OUI, pour violer la France : les français ont voté pour Sarko donc pour le Traité de Lisbonne. Faux.

3) Re-vote : cherchez l'erreur.

* France et Pays-Bas n'ont pas re-voté car le traité de Lisbonne est différent du TCE.

* L'Espagne n'a pas re-voté car le traité de Lisbonne est le même que le TCE.

 

Conséquence : En cas de passage en force, toutes les Directives & règlements européens n'auront plus aucune valeur en France, au Pays-Bas et ailleurs. Bien sûr nos dirigeants libéraux de la coalition au pouvoir nous feront croire le contraire.


République tchèque: nouveau recours sur le traité de Lisbonne. (AFP) – 30/009/09

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hXDYsNLkidtaepCy_uHxvZUEaytA

PRAGUE — Un groupe de sénateurs libéraux tchèques a annoncé mardi avoir présenté un nouveau recours devant la Cour constitutionnelle du pays contre le traité de Lisbonne, à quelques jours du nouveau référendum irlandais sur ce texte. (…)

Les deux autres pays à ne pas avoir encore achevé la ratification du traité (qui doit être approuvé par la totalité des 27 pays de l'UE pour entrer en vigueur) sont la Pologne et la République tchèque.

Le chef de l'Etat tchèque a fait savoir qu'il attendrait le plus longtemps possible avant de décider d'apposer ou non sa signature au bas du traité de Lisbonne, dernière étape de la procédure de ratification dans son pays après le récent feu vert du Parlement.

Certains le soupçonnent de vouloir faire traîner les choses jusqu'au retour au pouvoir attendu des conservateurs eurosceptiques britanniques au printemps 2010. Ces derniers ont promis d'organiser un référendum sur le traité de Lisbonne, s'il n'est pas encore ratifié à cette date, ce qui le condamnerait. 

 
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"Un torturador no se redime suicidándose, pero algo es algo." (Mario Benedetti)
"Vous vous croyez libres parce que vous votez, vous n'êtes libres que le jour où vous votez" (J.J. Rousseau)